Premiers pas avec le Raspberry Pi

Désolé les enfants, il va vous falloir causer la langue des roux pour vous en sortir.

Prise micro USB
Pour une bonne ratatouille, voici ce dont nous allons avoir besoin :

  • Une carte SD d’au moins 4 Gos de classe 4 + une machine avec un port SD card (forcément, ça aide).
  • Un câble HDMI de qualité quelconque
  • Une alimentation directe USB / micro USB comme sur les téléphones Samsung.
  • Une souris sur port USB, ça peut être pas mal pour l’interface graphique.
  • Et un peu de sucre en poudre.

Le tout acheté neuf vous coûtera plus cher que la Framboise…

Pour jouer avec :

  • Commencez par télécharger un OS qui va bien. Si vous pigez que dalle au grand breton, choppez le premier : Raspbian “wheezy”.
  • Téléchargez ensuite de quoi graver l’image. Si vous n’êtes pas une espèce de barbu ermite, il est fort probable que vous soyez sous Windows. Choppez donc Win32 Disk Manager.
  • Décompressez le zip de l’image et le logiciel dans un coin en local de la machine qui possède le sacro-saint port SD.
  • Lancez Win32DiskImager.exe, choisissez l’image et le lecteur de carte SD. Cliquez sur Write. Facile !

Lors du premier boot, vous avez la possibilité de configurer pas mal de choses dont les locales et de préciser que la partition doit prendre tout l’espace disponible.

Après un petit reboot, voici la page qui vous accueil :

Premier pas dans la framboise 🙂

Reste à voir ce qu’on va faire avec tout ça maintenant ^^

Raspberry Spi (haute def)

Coucou, me revoilou + Arrivée du Raspberry Pi

Je suis parti pour un petit weekend du 15 août et certains se sont inquiétés de ma disparition (ceux qui m’avaient prêté des affaires, j’imagine 😉 ).

Rassurez-vous (ou pas), me revoilà. Quel délice de retrouver les parisiens et le ton condescendant qui va avec. Quel bonheur de de trouver 40° et une pollution « élevée« . Quelle merveille d’avoir un frigo vide un dimanche soir. Et puis pfff, déjà nostalgique du weekend.
Bref, j’ai besoin d’un câlin.

Bon, sinon, j’ai reçu mon Raspberry Pi. Evidemment, tellement en avance que je n’ai pas de carte SD pour le tester.

Pour vous donner une idée du bestiau, voici sa bouille avec une carte format CB.

La framboise est arrivée !

Commandé le 5 août chez Farnell, expédié le 13 et arrivé entre le 16 et le 18.

Pour ceux qui n’ont pas suivi : ce truc est un petit PC qui coûte 35$ (41.32€ avec les frais de port). On trouve dessus :

  • Coeur
    • Un CPU ARM 700 Mhz (du genre de celui de nos smartphones)
    • 256 Mos de RAM (enfin, Mibis)
    • Un GPU capable de lire des vidéos MPEG4 en HD
  • Périphériques
    • 2 ports USB utiles (1 pour l’alim)
    • Un port HDMI, un port Composite RCA pour la vidéo.
    • Une sortie stéréo par jack 3,5 mm
    • Stockage sur carte SD
    • Un port ethernet 10/100
    • etc.

Se procurer :

Donc, y’a plus qu’à. Je vous tiens au jus. 😉

Google transparent sur la censure de ses liens

Dans un effort de transparence louable qui est aussi un pied de nez aux entreprises du divertissement, le moteur de recherche met à disposition certaines statistiques fort intéressantes.

On trouvera notamment des informations sur :

En ce qui concerne le dernier point, les informations sont riches et l’on peut par exemple savoir que la RIAA (EMI, Sony, Universal, Warner & co) demande chaque semaine la suppression de près de 7400 URL.

Amusant, voici le top 5 des domaines les plus censurés :

  • downloads.nl
  • mp3searchy.com
  • pisamba.com
  • mp3skull.com
  • audiko.net

Le top 127 000 est disponible sur le site (tiens, zoosexblogs.com, qui cliquera sur ce lien pour vérifier ce qu’il y a derrière ? 😉 ).

On y découvre également le nom de quelques entreprises oeuvrant dans l’intérêt des ayant droits comme leakid dont le « Leaksearch ownership permet de savoir dans la seconde si votre contenu est piraté ». Un poil prétentieux, mais ils dénoncent à tour de bras.

Ce que j’aime dans ce site, c’est qu’il met en évidence la guéguerre souterraine que livrent les majors au piratage.

Le site : Google Transparency Report.

Lire aussi :

Présentation de l’atari 2600

Chers internautateurs et internautatrices, aujourd’hui je vais m’attarder sur une des premières consoles de salon : L’Atari 2600.

Cette console est restée sur le marché de 1977 à 1991, soit pendant 14 ans. La machine était relativement limitée mais elle a tout de même vu l’apparition de jeux tels que super Mario.

Pour une dose de nostalgie et surtout une bonne dose d’humour je laisse la présentation à Frédéric Molas très connu sous le pseudonyme du « Joueur du grenier ».

Bon visionnage et passez un très bon week end.

En vous remerciant…

Edition du 13/09/2012 par Spi : Revenant de Paris Manga 2012, je vous colle vite fait une petite photo volée à notre joueur du Grenier qui était présent sur le stand Super Marcus World.

Le joueur du grenier, Paris Manga 2012 (cliquez pour agrandir).

Bot moi le $$$

Alors que j’allais tranquillement télécharger le plus légalement de monde un film sur un obscure site, une gentille demoiselle s’est spontanément présentée à moi et a voulu entamer la conversation. « Chouette », me dis-je, jusqu’à ce que la vilaine me fasse du rentre dedans. Je ne mange pas de ce pain là mademoiselle. Et rangez donc votre gorge !

Quelle déception en regardant le code de la page. On a tenté de me fourvoyer. Trahison !

var conversation=new Array(
 "'Aaahhh enfin… :)'",
 "'Tu voudrais koi mon chou ? '",
 "'mmhhh, on est voisin, je suis aussi de '+geoip_city().toLowerCase()+'.'",
 "'tes plutot bogosse, moi ca mexite, depeche toi !'"
 );

Vous m’excuserez, j’ai censuré les lignes glauques.

XKCD était encore plus innocent que moi :

Cliquer pour agrandir. Source : XKCD Suspicion

Bah, vous allez me dire : mais qui tombe dans ces pièges là ? Et bien figurez-vous que ça me rappelle le jour où je suis allé déverminer le PC du voisin d’un ami de la famille. Le bougre faisait un élevage de dialers de Q (et sans doute de maladies vénériennes). Cet homme avait une allure de vieux macro des années 70, sourire de bogoss inclus.
Donc, si si, ces gens existent, je les ai rencontré.

C’était un message de l’association pour la foi en l’Humanité.