Archives de catégorie : Humour

Les pires tweets de NorthGate 3

Troisième salve de tweets chelous en tous genres. Vous ne pouvez pas savoir l’avantage que c’est d’avoir la mémoire d’un poisson rouge et d’apprécier ses propres blagues. Ca me permet de repasser sur ces pages de tweets et de me faire rire tout seul. Je peux ainsi fonctionner en parfaite autarcie sans avoir à communiquer avec aucun d’entre vous. Le bonheur, j’vous dis. 😉

Bon, par contre, il y en a un paquet, donc cliquez sur le lien « Lire l’article entier […] » ci-dessous pour afficher les tweets. Have fun !

Retrouvez également la salve 1 et la salve 2, si celle-ci vous plaît. Et followez si ça vous dit. 🙂

Continuer la lecture de Les pires tweets de NorthGate 3

L’affreux lipdub de Décathlon

Merci à Rak et Eddy de m’avoir fait découvrir ce… cette chose. Vous savez, parfois on se dit YOLO : si j’hésite à le faire alors il faut foncer et le faire ! Béh, parfois ça marche pas si bien que prévu et on regrette. Souvenez vous par exemple, des photos de vous plus beurrés qu’un petit LU sur Facebook, ou encore de la soirée au cours de laquelle Jean-Bob vous avait dessiné une moustache avec le caca de Titan, votre Pincher nain à l’intestin fragile… Souvent, des indices peuvent pourtant vous mettre sur la voie que ça ne va pas bien se passer. Par exemple : vous allez faire un lipdub, les animaux sortent de la pièce quand vous chantez, vous n’avez plus aucune estime de vous, et vous travaillez à Décathlon. Là c’est évident, vous avez le potentiel maximum pour vous viander. Et pourtant…

Un peu comme la sécurité routière vous montre des images violentes d’accidents, c’est à mon tour de faire de la prévention : je vous livre ici ce qui pourrait vous arriver si vous YOLOtez trop. Attention, ces images peuvent choquer.

Allez, si vous supportez le fondu du début et la voix du gentil vendeur, ils méritent bien que vous leur achetiez un skate… Ou une smartbox « Apprendre à chanter », c’est comme vous voulez.

C’est vrai qu’à côté de ça, le lipdub des jeunes de l’UMP c’était le lac des cygnes…

Le discours inspirant de Charlie Chaplin en 1940

En 1940, Charlie Chaplin réalisa un film inspiré par la première guerre mondiale qui fut un immense succès et inspira des milliers d’américains. Vous le connaissez au moins de nom, c’est Le Dictateur. Lors de la scène finale, Chaplin barbier de son état, est confondu avec le Dictateur. On attend de lui un discours qui doit fédérer les troupes fascistes, mais c’est un tout autre speech que va improviser l’homme. A l’origine, le discours se fait sans musique de fond mais les auteurs ont intégré Time de Hans Zimmer (Inception) qui ajoute encore un peu de solonellité au moment. Je vous laisse apprécier. 🙂

Version originale (que je vous conseille) :

Comme quoi certaines choses ne vieillissent pas. Il y a sans doute là de quoi s’inspirer pour qui voudrait aller mener une guerre stupide, pour des motifs religieux par exemple.  😉

Affichez l’article entier pour voir la vidéo en VF.

Continuer la lecture de Le discours inspirant de Charlie Chaplin en 1940

Top 10 des trucs qui veulent ta mort quand tu es un cycliste

Rouler tous les matins n’est pas toujours de tout repos. Comme dans un jeu vidéo, vous avez des ennemis et des obstacles à éviter. La seule vraie différence est finalement qu’on n’a qu’une seule vie. Voici quelques unes des embûches que le monde entier s’est attelé à mettre sur ma route. Si vous en avez rencontré d’autres, n’hésitez pas à nous en faire part. 😉

1. La mégère accompagnée de son enfant
Oui, les mères de familles attentent à ma vie. Leurs armes ? Le rabattement osé ou le refus de priorité. Le temps qu’elles trouvent le lève-vitre, ça se conclut parfois par « j’ai un enfant à bord !!! ». Certes, mais vous m’expliquerez en quoi ça vous empêche de respecter le code de la route. Votre chérubin n’est pas un joker que vous pouvez me jeter au visage. Quoi que je voudrais voir ça.

2. Le gros monsieur mal garé
La monture fièrement postée au milieu d’une double piste cyclable, obligeant les vélos à rouler en contre-sens, le bougre n’a aucune excuse. Il est acculé mais il tente la pirouette : « où voulez-vous que je me gare, mon garage est là ?! ». Ben pas sur la piste cyclable… Réponse : « c’est intelligent ! » Ah, vous trouvez, vous aussi ?

3. Le jeune en scooter
Souvent à deux, sans casque, sur le trottoir. Lorsque vous entendez un bourdonnement de moustique se rapprocher rapidement, sautez donc dans le fossé le plus proche, car lui ne se déplacera pas. N’a pas du tout le même comportement face à un quad.

4. Le cadre qui téléphone
Au téléphone, on ne fait plus attention à ce qui nous entoure. Cette espèce qui ne regarde pas en traversant à une durée de vie limitée, vous les reconnaîtrez à leur similarités avec les hérissons tous plats des nationales. J’en ai vu aussi regarder Dr House en scooter (et si).

5. Le dealer au coin du carrefour
Tout énervé que vous êtes, excusez-vous d’avoir froncé les sourcils et passez votre chemin.

6. Le petit caillou sournois
Descendu des montagnes, il aura attendu des millénaires pour se tailler en pointe de 2 mm et venir se loger dans votre pneu, n’attendant qu’une bordure pour venir crever lentement votre chambre à air de façon à vous retrouver à plat à mi-chemin, loin de toute zone civilisée, la nuit, en hiver, a portée d’une meute de loup.

7. Le coureur
Qui croit que sur les petits chemins de terre aussi, il faut courir à gauche pour être vu des voitures. Oui, oui, oui. Mais ils ne sont pas tous comme ça. Vive le slalom.

8. La chambre à air suicidaire
Qui finit en hernie qui dépasse à travers votre pneu usé et meurt en emportant votre tympan.

9. Le nid de vache
Le nid de vache est caché derrière un virage ou un talus. Il vous attend depuis toujours et à la différence du nid de poule, il compte bien faire disparaître votre corps dans les profondeurs de la terre. Il est parfois aidée de son amie la Nature qui déposera une souche ou de l’herbe humide devant lui. L’entraide, ça paye.

 10. Moi
Combien de fois je me suis juré d’être encore plus prudent que la veille. Aujourd’hui, je suis un sapin de Noël casqué et paranoïaque.

11. Le bonus d’Eddy Malou : les pistes cyclables de Douai
Lisses et belles, elles se transforment en patinoires à la première pluie. Déjà bien embêté à devoir jouer les Surya Bonaly de fortune, vous vous confrontez au labyrinthe douaisien.

12. Le bonus de Rak : le lycéen
Le lycéen mou et wesh est un peu comme bovin dans son champ. Pas vraiment besoin de s’en préoccuper, il faut juste en faire le tour pour éviter qu’il ne vous mugisse dessus.

Les pires tweets de NorthGate 2

Vous avez aimé la première salve, alors voici la seconde. 🙂 Je n’ai toujours pas vraiment compris l’intérêt de Twitter, même si je l’utilise depuis un moment maintenant. Par contre pour moi, ça me force à mettre en scène des petits moments de vie en 140 caractère. Ca me fait bien marrer et ça, ça n’a pas de prix ! 😉

Retrouvez le premier article : Le pire des twits de NorthGate. Et followez-moi si ça vous dit. 🙂

Cliquez sur le bouton « Lire l’article en entier » pour… ben lire l’article en entier si vous êtes sur l’accueil. Nan parce que j’ai pas tout affiché par défaut, c’est un peu long, vous comprenez ? Continuer la lecture de Les pires tweets de NorthGate 2

Quand les sous-titreurs se/nous font plaisir

Comme vous ne piratez jamais pour ne pas faire pleurer Pascal Nègre, vous ne saviez probablement pas que lorsqu’un film ou une série sort aux Etat-Unis, une horde de subbers se rue dessus pour le souiller de sous-titres à la grammaire approximative et le mettre à gracieusement disposition des francophones. Voilà qui est réparé, bienvenue à bord moussaillon !

C’est fort sympathique de leur part, seulement certains d’entre eux parlent l’anglais comme des sèches thaïlandaises (marre de la vache espagnole) et se livrent à une course au sous-titrage qui nuit un peu à la pertinence du mot. Par exemple, dites-vous que le texte original de la capture ci-contre est : « Embark one of these ships », soit « Embarquez à bord d’un de ces bateaux ». Et non pas « Embarquez l’un de ces moutons »…

Allez, un dernier avant de vous envoyer sur leur site :

"You known nothing John Snow."
« You known nothing John Snow. »

Je vous laisse visiter les sous-titres de la honte.

J’ai torché le Bâton de la vérité

Forcément, j’étais obligé de mettre un titre à la hauteur de la série pour cet article. En fait, je voulais simplement dire que j’ai terminé le jeu South Park : The stick of Truth. Et j’ai kiffé comme un enfant à Neverland (les assauts sexuels en moins… Quoi que…).

Allez hop, bande annonce pour s’ambiancer :

Continuer la lecture de J’ai torché le Bâton de la vérité

Peut-on aller trop loin par amour ?

Aujourd’hui, je voudrais faire un peu de prévention sur un thème trop souvent négligé : l’amour. Non, non, je ne vais pas vous parler de préservatif où autre protection contre les MST et les enfants, mais je voudrais juste vous demander d’accepter vos limites physiques. Car il ne faut jamais, au grand jamais se surestimer ! J’en ai pour preuve cette séance à la Fistinière, poétiquement baptisée fist & chips.

Je suis certain que malgré un niveau de lubricité indécent parmi les internautes, vous n’avez jamais entendu parler de la position « le Ying et le yang ». Grand bien vous en fasse, vous avez été préservés. Mais j’entends bien mettre fin à votre innocence dés maintenant.

Sachez qu’en ces temps de solitude et d’isolement, certaines associations entendent prouver que le contact humain n’est pas mort. C’est le cas de la Fistinière, maison coquine s’il en est, qui a organisé cette fameuse soirée fist & chips (dont je ne me lasse pas de répéter le nom). Le but de certains protagonistes y a été de réaliser une position mythique, irréalisable jusqu’ici. Malheureusement, le simple mortel a ses limites car vouloir entrer dans un camarade la tête la première n’était pas prévu dans le cahier des charges du corps humain.

Lire : Deux morts lors d’une soirée fist & chips

Dans un registre moins extrême (quoi que non, finalement pas), c’est lors d’une gigantesque fête que 7 personnes âgées se sont éteintes (plus ou moins) paisiblement. « 50 nuances de Carolos » c’est ainsi que s’appelait cet épanouissant rendez-vous au cours duquel 200 petits vieux se sont enfilés gaiement pendant toute une nuit. Tout a commencé à déraper lorsqu’à 35 sur Jocelyna, les vénérables vieillards ont commencé à montrer des signes de faiblesse, puis à tomber comme des mouches.

Lire : Une partouze du 3eme age se finit par 7 morts !

Vous voici donc mis en garde, comme l’alcool sachez connaître vos limites. Emportez toujours des instruments de mesure et vérifiez régulièrement votre cardio.

Bon, j’admets, je pense que Nordpresse.be est un nouveau Gorafi Belge. Mais admettez qu’au fond de vous, vous y avez cru. 😛
Merci à qui de droit pour les liens. 😉
L’illustration est issus de Wikipedia Commons par Ian MacKenzie.

Arnaud Weber dans Arnaud Cartonne, au Bout

La semaine dernière, nous sommes allé voir Arnaud Weber dans Arnaud Cartonne ! C’était au Bout de Pigalle qui (non, bande de médisants) n’est pas situé à côté d’un sex shop… mais plutôt en face.

Je n’ai jamais vu un théâtre aussi petit et si vous être claustrophobe, vous mourrez probablement, le visage haletant dans un petit sac. Heureusement, Arnaud vous fera oublier que vous jouez au Tetris humain après quelques minutes de spectacle. On passe alors une bonne heure conviviale en se demandant quelle part du spectacle est vraie, inspirée ou bidonnée. Ce jour là, on s’est aussi demandé qui n’était pas son ami ou de sa famille car tout le monde semblait bien familier du comédien. 🙂

En plus de l’ambiance agréable, le personnage est bien amusant. On n’est pas encore au niveau des comiques ultra rodés, mais la magie opère. Arnaud fait rire avec son idée de cartons verts et rouges qui nous permettent d’interagir avec lui. C’est d’ailleurs ce qui nous a attiré et on a pas été déçu. Du coup, lorsqu’il nous a demandé d’écrire une critique positive, on s’est dit que ce serait dommage de l’en priver, alors voilà, chuis au taquet : c’était cool.  😉

Si vous souhaitez aller voir Arnaud, c’est sur BilletReduc. Attention, les cartons ne sont pas offerts comme l’affirme la production, ils les reprennent à la fin ! (peut-être un jour, quand il y aura des 1ères classes) 🙂