La société TechJet est en train de mettre au point un nouveau type de drone ultra léger inspiré des libellules. Le projet a été soumis à un site de financement (façon My Major Compagny) et a déjà récupéré plus de thunes qu’il n’en faut.
On les attendait au tournant, François Descraques et sa clique. Une saison 3 se devait de tenir au moins le niveau des épisodes précédents. Pari remporté ! Les acteurs sont bons et les nouveaux épisodes son bien fendards. 🙂
Pensez à aller visiter le site du Visiteur du futur. Ca leur fera plaisir. 😉
Sim City, revient après presque 10 ans d’absence. Décidément, les revivals sont à la mode !
La grande force de ce city builder est de proposer une palanquée d’options de développement. Vous devez gérer l’électricité, l’assainissement, les transports en commun, la pollution et j’en passe. C’est assez fun et c’est maintenant en 3D comme Cities XL, mais sans doute en plus pointu. Et ce qui me botte là dedans, c’est la possibilité de faire enfin du multi-joueur qui n’est pas limité à l’achat de ressources : les villes peuvent être complémentaires. Vous verrez mieux dans cette vidéo :
Zoom sur le Multiville !
Et je vous mets quand même une vidéo de présentation pour les non-initiés :
Salut les enfants ! En ce 25 décembre, je vous souhaite à tous un joyeux Noël ! Enfin, sauf à ceux qui ont été méchants à qui je souhaite de persévérer jusqu’à devenir un servile minion de Satan.
Et pensez aux enfants qui n’ont rien. Faites comme moi, achetez une tablette, ça leur donnera du travail.
Quand j’étais haut comme trois pommes et large comme deux, je jouais aux jeux vidéo comme beaucoup de garçonnets de mon âge. A l’époque, on avait des consoles déjà bien chères et quand on passait devant les magasins on bavait sur les consoles de bourges : qui n’a jamais rêvé de se faire une partie de Neo Geo ? Il aurait fallu claquer 5000 francs pour la console et 2000 par jeu. Solution de repli : il fallait aller dans les salles d’arcade et débourser 10 balles pour pouvoir y jouer. Mais quels bons souvenirs : Metal Slug, Art Of Fighting, Fatal Fury, Soccer Browl ont bercé mon enfance et fait de moi ce psychopathe que vous aimez.
Depuis, on a pu rejouer à certains grâce à des émulateurs Neo Geo, mais ce n’est pas tout à fait pareil. Et pour jouer aux jeux originaux, c’est pire que jamais avec des cartouches qui peuvent atteindre les 10 000 € ! Damn you all, game collectors !
Sachez donc, amis nostalgiques que SNK a sorti ce mois-ci une version un peu particulière de sa console à l’occasion de ses 20 ans : la Neo Geo X. L’idée est lumineuse : faire tenir la console dans une sorte de Game Gear qui peut se brancher sur un gros boitier pour rendre les sensations d’antant. Avec le boitier, vous aurez également la manette type arcade. Le tout vaut 199€ avec 20 jeux. C’est plutôt raisonnable. 🙂
Voici les jeux inclus :
3 Count Bout
League Bowling
Art of Fighting
Magician Lord
Alpha Mission 2
Metal Slug
Baseball Stars 2
Mutation Nation
Cyber Lip
Nam 1975
Fatal Fury
Puzzled
Fatal Fury Special
Real Bout – Fatal Fury Special
The King of Fighters ’95
Samurai Shodown II
King of the Monsters
Super Sidekicks
Last Resort
World Heroes Perfect
En France pour acheter c’est chez AcroDeal, E-Concept ou Micromania, mais bien sûr c’était déjà épuisé quand j’ai écrit ces lignes.
Qu’est-ce que c’est que cette arnaque de fin du monde de mes deux tentacules ?
Ok, j’ai plus un rond et plus d’amis. J’aime pas quand les projets changent du jour au lendemain… Me reste plus qu’à retourner au boulot comme si de rien n’était et essayer de retrouver ces lettres haineuses que j’ai envoyée à un peu tout le monde.
Les mayas, vous m’avez déçu. Presqu’autant que Paco Rabanne à l’époque. Paco qui pourtant avait de bons arguments :
L’Evénement : Paris à feu et à sang le 11 août prochain… Une catastrophe terrible, provoquée par l’écrasement sur Vincennes de la station orbitale Mir… Comment cette vision vous est-elle venue ?
Paco Rabanne : C’est une longue histoire. . . En 1951, j’avais dix-sept ans, j’entreprenais des études d’architecture aux Beaux-Arts. Je marchais le long des quais de la Seine quant tout à coup, comme dans un flash, j’ai entendu quelque chose d’effroyable : des dizaines, des centaines de gens brûlant vifs qui couraient dans les rues de Paris en hurlant. Leurs cris étaient si distincts et si terrifiants que j’ai dû me boucher les oreilles pour ne plus les entendre. Certains se jetaient dans la Seine, où ils continuaient de se consumer. Lorsque cette vision pris fin, j’ai regardé autour de moi : tout était parfaitement calme.
Mais comment en êtes-vous arrivé à la conclusion que cela se passerait le 11 août prochain ?
Tout est dans le soixante-douzième quatrain de la dixième centurie des Prophéties de Nostra- damus : l’an mil neuf cent nonante neuf sept mois
Sept mois.., c’est donc le mois de juillet ?
Oui, mais le calendrier employé par Nostradamus est en décalage de dix jours… et il faut compter sept mois à partir de janvier, ce qui nous fait arriver à la fin des dix premiers jours d’août, vous comprenez ? Et c’est précisément le 11 août qu’aura lieu la plus grande éclipse du siècle. Celle-ci s’accompagne d’une conjonction astrale particulièrement inquiétante pour notre pays. Je vous rappelle qu’en inversant 1999 on obtient 6661, soit 666, le nombre de la Bête, accolé à 1, le chiffre de Dieu : l’affrontement entre le Christ et l’Antéchrist annoncé dans l’Apocalypse !
Bigre si même des gens aussi intelligents que les couturiers et les présentateurs télé commencent à se tromper, où va le monde… ? Ah, pour les mayas, on me dit que c’est juste la flemme de terminer un calendrier….
Bon, allez, je vous mets quand même un court métrage qui n’en est pas un. Il s’agit d’une vidéos de Gonzague, un des pitres du web du moment. Ah ces jeunots.
En tout cas, j’ai été ravi d’avoir passé ces dernières années avec vous. Portez-vous bien ! Euh…
Après le rejet de l’Acta, l’Europe montre sa volonté de conserver un Net libre de toute étreinte pouvant dériver vers un bridage contraire à la liberté d’expression.
Ca s’est passé il y a quelques jours :
Les députés européens ont largement adopté le rapport sur « une stratégie pour la liberté numérique dans la politique étrangère de l’Union ». Après le rejet d’ACTA, le Parlement souhaite aujourd’hui une nouvelle approche en matière de droit d’auteur, spécialement dans le cadre d’accords commerciaux, afin de mettre un terme à la spirale répressive qui a caractérisé la politique de l’UE ces dernières années. Le Parlement insiste également sur la nécessité de renforcer les contrôles à l’exportation des technologies de censure et de surveillance. Par ailleurs, les députés réitèrent leurs critiques à propos de la reprise en main de la gouvernance d’Internet par les gouvernements (ce qui vient à point nommé puisque la rencontre du WCIT 2012 se déroule en ce moment même à Dubaï).
Finalement — et il s’agit probablement de l’aspect le plus important du texte — le Parlement réclame à nouveau une réglementation européenne en matière de neutralité du Net afin de protéger son architecture décentralisée et la liberté de communication de ses utilisateurs. Un autre rapport sur « l’achèvement du marché unique numérique », également adopté aujourd’hui, « appelle la Commission à proposer une législation visant à assurer la neutralité du réseau », et l’invite à mettre un terme à sa politique attentiste et inefficace.
Salut les enfants. Comme convenu avec moi-même, dés que j’ai le temps et l’envie, je vous fais un petit retour sur un film que j’ai vu.
Pour le Hobbit, je ne vais pas m’attarder sur le film mais je peux au moins vous dire qu’il est fort sympathique et qu’il reste bien dans l’esprit du Seigneur des Anneaux. Il traîne un peu en longueur, mais il fallait s’y attendre : pour adapter un livre de 320 pages en 3 films de prés de 3h, il faut combler un peu. En résumé, pas aussi immersif que la première saga, mais ça se laisse regarder.
Cela étant dit, si le film en lui-même ne prête pas à beaucoup de commentaires, je voulais en revanche vous donner mon avis sur le HFR dont j’avais déjà un peu parlé sur le premier article du Hobbit. Petit rappel : Le HFR pour High Frame Rate (« débit d’image élevé ») permet de visualiser deux fois plus d’images en une secondes. Dans les années 20 et jusqu’au début 2000, les films étaient cantonnés à 24 images par secondes maximum. Il était donc temps de bousculer radicalement les standards grâce au numérique.
Pour l’anecdote, le taux de 24 ips (images par secondes) a été atteint non pas pour améliorer la qualité optique mais sonore : une bande à 12 ips ne défilait pas suffisamment vite pour y stocker un son intelligible, il a donc été décidé d’augmenter le nombre d’images diffusées en une seconde. Autre chose assez fun à savoir, c’est que les bandes 35 mm ont traîné leurs limitations pendant un siècle. Ainsi, avec l’avènement du son numérique sur film analogique, il a fallu caser les pistes 5.1 sur la bande : l’enfer. Heureusement, les éditeurs sont astucieux et ils ont utilisé absolument tout l’espace disponible pour y stocker le son. Pas question en plus d’augmenter une nouvelle fois le nombre d’IPS. Regardez comment ils se sont débrouillés :
Gros plan sur les pistes audio d’un film 35 mm
Oui oui, ce sont bien les trous d’entraînement de la bande. De gauche à droite, vous voyez les pistes Sony SDDS, Dolby Digital (que vous connaissez), analogique stéréo et le code temps DTS (dont la piste son est stockée sur un CD à part). C’est ce qui s’appelle exploiter à fond un support. Le problème ensuite, c’est : comment améliorer encore l’expérience utilisateur ? Réponse : en passant au numérique.
Comme tout changement, le fait de ne plus voir des coins flous, de poils pubiens qui passent ou une pellicule qui crame pendant le film a manqué à certains. Mais le gain du numérique est indéniable : certains projecteurs sont capables de diffuser un film jusq’à 240 ips en 4 096 x 2 160 pixels soit dans une qualité bien supérieure au 35mm. Le numérique est en train d’apporter une image plus nette, d’une meilleure résolution, en 3D et pour ce qui nous intéresse aujourd’hui : plus fluide.
Avant le passage au 4k, Peter Jackson a décidé de sauter le pas en passant son film à 48 ips au lieu des 24 habituelles. Et bien franchement, c’est parfait. Après la netteté, s’ajoute la fluidité : les scènes rapides sont précises, il n’y a plus de saccades et la 3D semble moins fatigante. Sur le net, je n’ai trouvé aucune critique sur cette technologie qui soit digne d’être relevée. Certains disent que c’est même trop parfait et qu’on voit les défauts de peau ou de maquillage, d’autres que ça donne un effet « série télé », mais en fait c’est juste une habitude à prendre. Habitude que vous avez déjà prise d’ailleurs puisque vos téléviseurs en 100 Hz proposent une fonctionnalité similaire.
Le principe du 100 ou 200 Hz sur une TV est de recréer par interpolation des images supplémentaires de façon à fluidifier les mouvements rapides. La différence avec le HFR vient donc du fait que d’un côté vous avez 200 ips dont 176 sont « imaginées » par la TV et de l’autre, vous avez 48 vraies images. La seconde solution reste sans doute préférable car recréer des images provoque parfois des artéfacts (des défauts) dûs à des erreurs d’interpolation.
Voilà, j’espère vous avoir donné une bonne idée de ce qu’est le HFR. Vous aurez remarqué que la techno m’enthousiasme pas mal. 😉 Petit bémol : aujourd’hui j’aimerais trouver des films en HFR sans 3D.
Parce que c’est sans doute notre génération qui choisira l’avenir du web, parce qu’un débat sur le Net ne doit pas se faire à huis clot : Google Take Action.
Certains barbus vont s’émouvoir qu’une corporation comme Google prenne le flambeau de la défense de l’Internet. Je rétorquerai que la voix de Google est plus entendue que nos manifs ou nos blogs. Nous Internautes, rien ne nous fédère assez pour que nous ayons une portée mondiale, à part peut être les tentatives réussies des Anons pour faire parler de nous.
Un allié puissant qui a les mêmes intérêts que les internautes ? Fonçons 😉
Un Ch'ti + de l'eau + des fruits = un blog
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