Attention, cet article est une arnaque. Autant vous prévenir tout de suite, je n’ai pas grand chose à raconter sur l’expo. 😉
Je rentre à l’instant et je n’ai pas plus à ajouter que lors du billet rédigé en 2010 (Paris Manga, faut aimer, quoa). Par contre, une nouvelle coqueluche du web était présente, je vous laisse le découvrir sur cet article. Petite déception pour l’absence de la Sci Fi (promise sur l’affiche) et des acteurs des web séries françaises.
Bon point à noter : ils ont déménagé à Porte de Versailles et c’est bien mieux aéré.
Il fallait forcément que je vous parle de mes premiers pas dans Black Mesa Source. Alors voici. 🙂
Tout d’abord, rappelons ce qu’est BMS. Lorsque Half Life² est sorti, Valve son éditeur a décidé de publier à nouveau le Half Life original en utilisant le moteur graphique du 2. Seules quelques textures changeaient et le titre de 1998 avait bien vieilli. La déception fut telle chez certains joueurs qu’un petit groupe de gus dans un garage décida de refaire entièrement le jeu en tirant partie des moteurs physique et graphique de 2007. C’est possible sans piratage grâce à la politique de Valve qui propose un kit de développement (SDK, en échange de droits sur l’oeuvre). La preuve, BMS est gratuit et supporté par Valve.
Attardons nous aussi sur la performance car il s’agit peut-être là du mod le plus ambitieux depuis toujours. L’équipe de développement composée de bénévoles bosse sur le jeu depuis fin 2004. Imaginez-vous chez vous en train de travailler des textures, d’enregistrer des voix, de créer des animations, d’enregistrer des musiques ou de scripter des séquences. Y’a du taff ! Et comme le tout n’est pas qu’un simple copier-coller de Half Life, il a fallu tout refaire, comme un vrai studio. Saluons donc ces braves gens qui ont consacré leurs loisirs aux nôtres. 🙂
Il m’aura fallu quelques heures pour télécharger le jeu et le SDK. Même le jour de la sortie, le site a presque tenu la charge et les téléchargements en torrent étaient parfaits. J’ai donc pu jouer quelques niveaux. Alors, quelle impression ? Et bien, il y a quelques petits détails qui font qu’on voit que ce n’est pas du Valve, mais jusqu’ici tout s’est presque enchaîné parfaitement (j’ai quand même réussi à me coincer dans une porte…). Mais franchement, c’est très bien fichu, limite pro. Le mélange du scénario de Half Life 1 avec le moteur physique du 2 est bien rendu. On regrettera peut être juste de connaître le scénar à l’avance et la moins grande profondeur scénaristique que dans HL². Mais ça, on le savait. ^^
Je vais continuer avec moins de plaisir que sur HL², mais on peut féliciter les auteurs pour cette formidable performance . 🙂
Je vous remettrai un petit article une fois le jeu fini. Bon week end !
Le compte à rebours devrait être terminé à la publication de cet article. Il est temps de vous précipiter et de saturer les serveurs Steamde Valve ! GO, GO, GO !
Oh, j’ai peut être oublié de rappeler qu’il s’agit de la reprise de Half Life premier du nom par une équipe de fans. Ceux-ci avaient été déçus de Half Life Source qui n’apportait que quelques textures améliorées. Ils ont donc pris les choses en main et on refait un jeu entier ! On attendait ce moment depuis le premier teaser en 2005. Mais ensuite, silence radio.
Et voilà qu’aujourd’hui, le mod sort de sa léthargie. On l’attend un peu au tournant, mais ça devrait être bon. 🙂
J’imagine que vous avez remarqué que j’étais assez fan de Synology et de ses petits gadgets. Aujourd’hui, je voulais vous causer du Cloud Station. Ce serait dommage de passer à côté car c’est vraiment un truc utile (si vous avez un NAS Syno, évidemment, galopins). Mais qu’est-ce donc que ce clou station ? Aucun rapport avec Jésus :
Pour les familiers d’Internet, il s’agit d’une Dropbox personnelle.
Pour les autres, cela consiste à partager un dossier de votre NAS de façon sécurisée via Internet. Ce dossier est représenté sous la forme d’un répertoire Windows qui est synchronisé chez vous à l’aide d’un logiciel client à télécharger.
Et pour chipoter, je dirai que parler ici de cloud n’est pas opportun, car pour moi un cloud (nuage en français) sous entend que vous ne connaissez pas l’emplacement de vos données. Mais bon, c’est marketing. 🙂
Pour utiliser le bébé qui fonctionne bien depuis le DSM 4.1, il vous suffit de télécharger le package dans le centre des paquets.
Puis il faut configurer un minimum. Rendez-vous dans l’application nouvellement installée :
Imaginez le monde lorsque la réalité augmentée sera la norme. Une boite invente des verres de contact capable de vous plonger dans un monde virtuel en permanence.
Ca fait flipper hein ? Et ce n’est pas si loin de la réalité :
Bon, ça y’est, j’ai bien fantasmé avec la V6, mais il faut bien se rendre à l’évidence, c’est du caca de fennec.
Free ce n’est ni Apple qui sort des produits au hard soigné mais cher, ni Google dont les bêtas sont déjà béton. C’est plus l’Ikea de la box multimédia. Oh, je n’ai rien à dire sur le modem en lui-même, mais le player épuise ma patience.
Au début, je me suis dit que ça finirait par marcher car Free a l’habitude de sortir des trucs pas finis, mais non, pas là. Ce truc bas de gamme dans un emballage de luxe a toujours tendance à mal lire les Blu Ray et à les abîmer avec son mange disque en carton. Et puis si on ajoute cette plaisanterie de télécommande / souris, on atteint le summum du ridicule.
Le player n’est pas la spécialité de Free. Ils le font mal. Je n’ai pas plus d’espoir pour les autres fournisseurs d’accès alors cette fois c’est décidé. La box me servira uniquement de player UPnP (ce que le RaspBerry Pi fait déjà, mais bon) et je vais utiliser celui de mon PC.
Enfin, j’aimerais bien car je n’ai pas de lecteur logiciel. Et bien vous savez quoi ? Je vais peut être télécharger les versions HD piratées des DVD que j’ai achetés. Ce sera plus simple.
Attendez, non, j’ai mieux. Suivez les indications de cette page et lisez votre BluRay sur VLC. Après tout, j’ai un lecteur matèriel free donc toutes les licences pour le player, j’ai acheté le Blu Ray donc je suis dans la légalité.
Chers membres du Bluray consortium (Apple Inc., Dell Inc., Hewlett-Packard, Hitachi, Ltd., Intel Corporation, LG Electronics, Mitsubishi Electric, Panasonic Corporation, Pioneer Corporation, Royal Philips Electronics, Samsung Electronics, Sharp Corporation, Sony Corporation, Sun Microsystems, TDK Corporation, Technicolor SA, 20th Century Fox, Walt Disney Motion Pictures Group, Warner Bros. Entertainment), je vous conchie. Pourquoi regarder un film est-il toujours plus difficile à chaque nouveau média ?
Pof, une soirée film à l’eau.
Edition du 16/09/2012 : J’ai reçu mon lecteur Blu Ray cette après midi. C’est un Sony BDP-S185 (69€) tout simple qui lit les Blu Ray (ça m’arrange) mais pas ceux en 3D (m’en fout). Et bien, figurez-vous que ô miracle, le lecteur a été capable de lire Hulk entièrement sans saccader. Voilà qui confirme que ma freebox a vraiment un problème avec les Blu Ray après 30 minutes de lecture…
Toujours très satisfait de mon DS210J, je suis assez attentif aux releases du pure player NAS. J’attendais une nouvelle version après la mise à jour de quelques paquets en fin de semaine dernière, et c’est chose faite aujourd’hui. Synology nous livre la version 4.1 de son logiciel DiskStation Manager et apporte (enfin, « conforte ») une petite fonctionnalité sympathoche : le streaming de vidéos avec Video Station. Je ne l’ai pas encore essayé, mais si c’est l’équivalent de l’Audio Station pour les films, ça va être bonnard. ^^
Un cloud personnel (que je dois toujours configurer d’ailleurs)
Un player multimédia complet (audio, vidéo, musique, photos, UPnP…)
Une meilleure prise en charge de la virtualisation avec VMWare.
Dommage cependant, certaines nouvelles fonctionnalités ne sont pas accessibles à tous les boîtiers de la marque. Comme les versions d’Android, certains sont trop limités question hardware. Le DS210J est d’ailleurs la limite pour installer le player vidéo.
Edit : Petit retour d’expèrience à chaud après installation :
C’est long à rebooter (près de 4 minutes) !
Il va vous falloir aller cherche vous-même le paquet Video Station dans le centre des paquets.
Video Station va un peu plus loin que ce que je pensais en proposant l’enregistrement de chaînes TV (avec un dongle TNT numérique)
Nouveau moniteur de performances.
Cloud Station qui ne fonctionnait pas chez moi en 4.0 marche en 4.1 ! Youhou ! Me reste à tester ça 😉
Bon, je vais avoir de quoi m’amuser lundi soir. ^^
Chers internautateurs et internautatrices, voici la seconde et dernière partie de la fabuleuse histoire des jeux vidéos.
Après avoir versé quelques larmes pour les plus anciens d’entre nous (premières années) , observons maintenant les avancées vidéo ludique de ces quinze dernières années.
Et quelles années, puisqu’il s’agit de la démocratisation des jeux vidéos. La génération Y qui a grandi avec le Net prend le pouvoir. Les consoles deviennent des centres multimédias, les jeux sont plus adultes, le public commence à réclamer une histoire pour justifier le moindre beat’em all et parfois même un peu de finesse. Le jeu vidéo change. Le but n’est finalement plus la performance mais d’immerger le joueur. La 3D et la capacité fournie par les CD permet enfin aux développeurs de se lâcher. Et ce n’est pas fini !
Redécouvrons l’arrivée de SONY sur le marché avec la mythique playstation, le nauffrage de SEGA, la continuité de NINTENDO avec l’arrivé des écrans tactiles ou encore des manettes détecteurs de mouvements, et sans oublier MICROSOFT…
Certes les plus jeunes pourront maintenant se permettre les « AH OUI JE M EN RAPPELLE!!! » et se rendront compte que les choses évoluent trop très vites…
Profitez de ce deuxième acte n’oubliez pas que les bons jeux d’aujourd’hui feront la nostalgie de demain…
Chers internautateurs et internautatrices, mon ami spi et moi même vous proposons un retour dans le passé en vous injectant une belle dose de nostalgie.
Et oui mon cher Tritri, une petite injection de 50 minutes avec une aiguille en fer de 30 ans (tétanos inside).
Et pour cela, quoi de mieux que revivre l’histoire des jeux vidéos. Nous vous proposons deux vidéos où vous commencerez ce merveilleux périple depuis les années 70 pour finir sur les consoles de salon à l’époque actuelle.
Commençons déjà par la naissance de ces jeux qui remontent à la vénérable génération des vieux geeks tordus fans de la première heure qui nous précède. Amis quadra, trentenaires et vingtenaires, une petite larme va couler sur vos joues ! Souvenez vous de ces jeux ultra-courts, ultra difficiles, ultra frustrants. Vous vous rappelez des vies et les continues ? Vous vous souvenez quand vous latiez la manette de rage contre votre petite soeur parce que vous aviez tout épuisé lors de votre premier essai sur le boss de fin ? Et bien on y retourne 🙂
Vous retrouverez surement la (les) machine(s) que vous avez découvert au pied de votre sapin et qui vous a (ont) figée(s) durant tant d’heures devant la télévision de papa et maman…
Avec cette première vidéo retrouvez l’Atari 2600, les débuts de Mario, Sonic jouant à Usain Bolt, etc… Le tout présenté par Laurent Deutch (Voix off) Philippe Ulrich, Marcus et plusieurs grandes figures des jeux vidéos tel que Shigeru Miyamoto créateur et directeur général de Nintendo ou Alain Huygues-Lacour présentateur de jeux vidéo sur gameblog et partenaire du grand Cyril Drevet.
Il est temps de combler les pans manquants de votre histoire vidéo-ludique.
Mesdames, Messieurs, il ne nous reste plus qu’à vous souhaiter un agréable divertissement…
A suivre…
♥ x3 – Continue x1
Un Ch'ti + de l'eau + des fruits = un blog
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