Le bench des gamers est disponible aujourd’hui en version 11. 3D Mark est sans doutes l’outil le plus connu pour tester nos cartes graphiques, et pour cause ! Il a l’habitude de les mettre à genoux et d’étaler leurs tripes.
Vous devriez pouvoir le tester depuis le site de Futuremark. Vous aurez besoin de Windows Vista ou Seven pour le tester, DirectX 11 oblige.
N’arrêtons pas sur une bonne lancée, et poursuivons encore un peu avec les vidéos. Cette fois, causons série humour / SF !
En ce début de millénaire, après les Simpsons, Matt Groening a développé avec David X. Cohen une série toute aussi sarcastique prenant place en l’an 3000 : Futurama. Malgré la qualité de la série et après 5 saisons, elle fut abandonnée en 2003 par la FOX. 4 films firent patienter les fans et en 2010, surprise, Futurama est de retour ! Comme quoi, je n’avais pas vraiment acheté l’intégrale :).
2×13 épisodes sont prévus pour 2010 et 2011 et vous pouvez voir les épisodes en avant première sur divers sites de streaming.
Pour ceux qui ne connaissent pas, vous retrouverez quelques ingrédients qui ont fait le succès des Simpsons comme l’humour caustique et la bouille familière des héros. J’irai jusqu’à dire que je préfère Futurama aux Simpsons.
Comme Jefflec le faisait remarquer, l’épisode sur l’eyePhone (Attack of the Killer App) est une parodie d’Apple bien fendarde. Ma préférence va toutefois à The Duh-Vinci Code, vraiment marrant 😉
Si vous ne connaissez pas mais que vous avez aimé les Simpsons, c’est à découvrir d’urgence.
Crysis 2 sortira le 25 mars 2011.
J’avais trouvé Farcry joli mais vide, Crysis était magnifique et suivait un scénario léger mais accrocheur. Cette fois, Crysis 2 se déroulera en partie en environnement urbain et s’annonce splendide. J’attends beaucoup de sa sortie, en espérant que le jeu tournera sur ma config…
J’ai découvert avec stupeur qu’une grosse société peut mettre en place un hack du HTTPS afin de surveiller les échanges cryptés. On nous promet qu’aucun humain n’aura accès aux données décryptées et qu’il s’agit d’empêcher les liaisons VPN pirates vers l’extérieur. Soit, mais ça ne parait pas très sain.
Heureusement, c’est un détournement du SSL qui est quasi impossible à mettre en place par un FAI.
Si j’ai bien compris, la technique est la suivante :
Configurez l’ensemble de votre parc machine pour que tout les PC fassent confiance à l’autorité bidon du certificat.
Lorsqu’un utilisateur se connecte à un site en HTTPS, faites en sorte que le proxy se connecte à sa place et établissez une connexion SSL privée entre le poste utilisateur et le proxy. Comme il est impossible de réutiliser le certificat du site, utilisez le vôtre (le bidon).
Comme vous avez « choisi » de faire confiance au certificat bidon, vous vous connectez de façon transparente (sans alerte) en HTTPS mais le proxy est capable de voir le flux transiter en clair.
Malin non ? C’est une technique de hacking :
Lorsqu’il s’agit d’une société privée j’imagine qu’ils peuvent faire ce qu’ils veulent.
J’ai baigné dans l’univers Microsoft depuis ma plus tendre enfance, mais régulièrement à chaque solstice d’été, je tente de comprendre l’open source. En tant que débutant dans le domaine, j’ai une vision sans doute un peu bâtarde, mais j’avais envie de la partager. Bien entendu tout ce qui suit est subjectif, et je ne vous en voudrai pas de tenter de me remettre dans le droit chemin (ou un autre).
Tout d’abord, un petit paragraphe pour présenter l’open-source au profane.
Il s’agit d’une vision du développement informatique qui peut paraître utopique et qui consiste à dire : « ce que je fais, je le partage avec le monde et s’il prend au monde l’envie d’améliorer ma trouvaille, qu’il le fasse et partage ! ».
L’encyclopédie libre en ligne Wikipedia repose sur ce modèle. Le moteur de wiki est partagé et je l’ai moi-même utilisé pour le wiki de notre boite. C’est gratos et j’ai accès au code. Il existe même des modules complémentaires (développés avec plus ou moins d’élégance).
Quand l’open source devient un concurrent sérieux
Le serveur web le plus utilisé aujourd’hui est libre, il s’agit d' »Apache ».
Apache prend la tête dés 1996, non pas parce qu’il est plus performant que d’autres, mais sans doute parce qu’il est gratos. Il ne faut pas se leurrer, un hébergeur comme Free ne survivrait pas longtemps s’il devait payer des licences Microsoft.
Le bio
Pour vous expliquer mon sentiment actuel à l’égard du free, prenons l’exemple du bio. Longtemps, de petits artisans ont tenté de promouvoir l’agriculture biologique. Ce n’était pas évident car faire pousser une betterave sans engrais chimique, c’est long, moins facile, le rendement est plus faible et le légume ne répond peut être plus aux normes des grandes surfaces. Il faut donc se faire son propre canal de distribution : disons les marchés.
Pour l’exemple, on peut dire que c’est ce qui s’est passé avec Linux. Des gens motivés ont donné de leur temps pour forger un système d’exploitation alternatif viable et qui est reconnu aujourd’hui. De simples artisans ont oeuvré pour un monde meilleur.
Et le faux bio
Depuis les années 2000, le Bio est à la mode ! Au vu de l’augmentation de la demande, des enseignes toutes vertes sont apparues et le monde « civilisé » ne jure plus que par l’agriculture biologique ! Je pense par exemple à Naturalia qui, sous prétexte de qualité, vend ses produits bien chers. Mais on accepte, si c’est pour mieux manger.
Aujourd’hui, c’est pareil pour les produits open-source. Ils bénéficient d’une aura de sainteté et des entreprises tout ce qu’il y a de plus capitalistes les « encadrent » (voir LibreOffice, un OpenOffice avec moins d’Oracle). Pourquoi ? Parce qu’un produit qui ne coûte rien à l’achat nécessite souvent une prestation associée, ce que j’aime appeler le coût caché.
Cette prestation peut s’assimiler à du développement sur mesure. Et si le produit possède une faible communauté, l’assistance des experts se fait encore plus coûteuse.
Vous me direz, qu’il faut bien vivre. Ok, mais c’est un peu hypocrite de simplement déporter le coût.
Le faux bio en action
J’ai lu de ci de là que de toute façon, le coût d’utilisation d’un logiciel libre reste inférieur à celui d’un progiciel payant. Je ne commente pas, mais je veux vous prouver que ce n’est pas systématique et que c’est très difficile à déterminer.
Sans pouvoir entrer dans les détails, je peux vous parler d’un Intranet SharePoint en train d’être remplacé par un produit open-source. Ce dernier possède deux avantages : il est libre (synonyme de « gratuit » pour un dirigeant) et il a bonne presse auprès de nos patrons. Le projet est donc lancé, l’Intranet sera une agrégation de modules de recherche, de workflows & co. Cette agrégation et la mise en place a consommé des centaines de journées de développeurs. Là où l’intégration d’un portail SharePoint se fait un setup. Sans compter ce que j’entends sur la fiabilité du nouvel Intranet.
Ok, c’est sans doute caricatural, je ne ferai pas la promo de SharePoint qui a aussi son lot de défauts, mais je veux commencer à montrer que dans ce domaine aussi, tout est en nuances.
Un disciple prône toujours la bonne parole de son Dieu.
Si j’ai eu envie d’apporter ces nuances, c’est parce que si j’aime le principe de l’open source, je n’aime pas vraiment la publicité mensongère qui gravite autour. J’ai identifié plusieurs promoteurs du libre :
Les intégristes qui ne peuvent pas voir Microsoft en peinture et qui font de l’ASCII art sous VI. Ceux qui me font souvent : « mais si, la ligne de commande c’est vachement plus rapide ! » suivi d’un « Euh, attends, on va chercher la commande sur internet, merde, faut configurer le proxy, rrhaaaa, c’est pas compatible ISA Server ».
Les commerciaux de boites d’intégrations de produits open-source : « mais puisqu’on vous dit que c’est gratuiiiiiiiit ! », les instigateurs du « faux bio ». Pensez au Bio de Madone.
Les objectifs, je n’en connais pas. Tout le monde est acquis à une cause 🙂
Les deux premiers ont tendance à m’énerver à peu près autant que Steve Jobs (le VRP hors pair d’Apple) ou les publicités agressives de Microsoft (Open Office, Windows Phone).
Quand utiliser du free ?
Loin de moi l’idée de même oser vous conseiller ! L’open source et le commercial ont tous deux des défauts et qualités. A mon avis, le type de licence n’est qu’un élément à considérer avec la qualité, l’usage, l’environnement, etc.
De mon expérience, cette question trouve sa réponse en fonction du feeling du dirigeant qui s’érige en expert informatique : « On utilisera ça ! Les voisins l’ont, 01 Informatique en parle, c’est vachement mieux ! » Et cette situation se répète sans cesse grâce au jeu des chaises musicales de la direction. Les choix politiques ne sont pas forcément corrélés aux vrais besoins. Je ne suis pas certain que les produits soient même étudiés pour ce qu’ils sont.
Pour rester sur l’exemple de Wikipedia, si nous l’avons choisi, ce n’est pas parce qu’il est libre, c’est parce que c’est un produit éprouvé et réputé fiable qui correspondait à nos critères (la gratuité en était un). A contrario, on me demande en ce moment d’étudier un système de gestion de documents, parmi quatre « libres » imposés par la direction. Alors certes, ça marche bien chez le voisin, mais peut être que lui n’est pas entièrement équipé Microsoft et peut être que la décision aurait pu prendre en considération l’avis des galériens qui vont devoir la subir ?
J’ai fait quelques recherches et il m’est encore difficile de trouver le vrai parmi tous les mensonges proférés par les commerciaux de progiciels et les fanatiques de pingouins. Si vous choisissez un produit libre, faites le pour une bonne raison. Parce que le free vous apporte quelque chose, ou simplement parce que le produit est bon. Pas parce que c’est du free ! C’est valide aussi pour les produits Microsoft et compagnie.
Je vais essayer de garder ce paragraphe à l’esprit.
Comme personne n’a répondu à cette question sur le Net et que vous êtes sûrement super nombreux à vouloir installer le logiciel MyTomTom sur un Windows Server 2008, voici votre salut.
D’abord, sachez que vous êtes un sacré pervers pour vouloir faire ça…
C’est très simple, téléchargez l’application MyTomTom et installez là. Notez le répertoire d’installation (par exemple C:Program Files (x86)MyTomTom 3). Un droit administrateur peut être nécessaire.
Le guide utilisateur vous indique que vous branchez et ça marche. Sous 2008, on branche et ça marche pas… Enfin, l’écran de demande d’installation de Windows s’affiche, sélectionnez donc une option du genre « parcourir mon ordinateur à la recherche des pilotes » ou « Browse my computer for driver software ». Sélectionnez maintenant l’emplacement du répertoire d’installation de MyTomTom. Hop, votre TomTom 1000 est reconnu.
Maintenant, j’aimerais bien savoir pourquoi vous installez ça sur un serveur… 😉
Je suis un peu long à la détente car le trailer que je vous propose date d’il y a un mois. Il s’agit d’une illustration du mode coopératif de Portal 2.
Pour rappel, Portal est un « petit » jeu basé sur le moteur de Half Life². C’est une sorte de casse tête scénarisé dans lequel le joueur peut créer deux portails à l’aide d’une arme. Lorsque vous pénétrez dans l’un, vous sortez de l’autre (vous comprendrez avec la vidéo, au pire).
Dans sa deuxième mouture, Portal propose un mode particulier dans lequel deux joueurs devront réfléchir à la résolution du puzzle et agir de concert pour s’en sortir. Je crois que plus que jamais, ce mode mettra en avant les intéractions entre humains. D’ailleurs la vidéo commence par « Les tests suivants requièrent de la coopération, c’est pourquoi aucun humain ne les a jamais résolus ».
En revanche, le projet Black Mesa semble mourir à petit feu vu le peu de communication en provenance du site (un dernier twit en janvier). Je prie pour que l’une des surprises qu’annoncera Valve soit la prise en charge du projet et la remise en selle du mode coop. Ce serait le pied. Rêvons.
Je vous laisse (comme d’hab) avec un Still Alive rigolo, you monsters.
L’expo de l’amusement électronique (e3, prononcez « i quioube ») se tient en se moment même à Los Angeles, cité des anges, du cinéma et repère notoire de Satan (comme quoi ce n’est pas Sunnydale). Pourquoi je vous parle de ce misérable carnaval de province ? Et bien parce que pour une fois, il a su me titiller ! Jugez plutôt.
Portal 2, la suite du puzzle scénarisé, a été présentée devant une masse de fans baveuse !
Vous incarnez toujours Chell, la fille malchanceuse d’un(e) scientifique prise au piège par GlaDOS, l’evil computer local. 20 ans après votre évasion peu fructueuse, vous êtes de nouveau conviée à visiter les locaux.
Pour l’instant, on en sait assez peu, si ce n’est qu’un nouveau protagoniste devrait vous tenir compagnie et qu’un mode coop distinct sera implémenté. Je ne vous en dis d’ailleurs pas plus, et je vous laisse vous aussi noyer votre clavier de salive et autres sécrétions corporelles.
Après avoir répondu pour la première fois à l’appeau à geek de la Japan Expo, je me suis dit que ça pourrait être sympa de renouveler l’expérience. Donc ce samedi, direction Paris Manga à la Porte de Versailles.
Bon, ben c’est pas tout à fait pareil. C’est deux fois plus petit, y fait chaud, ça pue et c’est surpeuplé. Ca ne veut pas dire que c’est naze, mais j’ai fait le tour en moins de 2h, là où une journée n’aura pas suffit pour la Japan. Il faut dire que c’est bien moins orienté science fiction.
Les stands oscillent entre Star Wars et manga, on y trouve des beaux objets de collections, des stands de Dance Dance Revolution, des maquilleuses, du cosplay, des mangas (tiens), du catch (tiens ??), etc. Bon point pour la diversité, mais vraiment, il y a trop de monde. Enfin bizarrement, il n’y a pas de queue phénoménale pour les dédicaces.
Pas de super surprise pour moi, juste quelques acteurs plus ou moins connus comme ceux qui incarnaient R2D2, Dark Vador ou encore Predator. Vous me direz, c’est toujours mieux qu’Adrian Paul (en terme de célébrité).
J’y suis un peu allé pour croiser l’excellente équipe de la Flander’s qui, tels de fidèles piliers de bars sont toujours au rendez-vous d’une convention :). Ils dédicaçaient leurs DVD fraîchement sortis.
Et pour finir, je vous colle ma photo préférée :
Je dirais que ça fait une sortie qui remplace bien un ciné, sans plus. Mais je comprends que des fans trouvent leur bonheur sur place. Moi, le côté SF de la Japan m’a manqué.
Un Ch'ti + de l'eau + des fruits = un blog
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