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J’étais à l’avant première d’Albator au Grand Rex

Bonjour à tous et Joyeux Noël !

Vendredi, j’étais à l’avant-première de Space Pirate : Captain Harlock que vous connaissez tous sous le nom de Albator : le corsaire de l’espace. Ca se passait au Grand Rex en présence de 2700 fans sur l’écran de 300 m² de la salle Grand Large. L’ambiance était excellente et le film n’était vraiment pas mal.

Synopsis :

Dans un futur lointain, la Terre est devenue une « planète interdite  » pour les humains éparpillés dans l’Espace : la planète ne dispose pas d’assez de ressources pour héberger toute l’Humanité. Le commandant du vaisseau spatial Arcadia, le capitaine Albator, est un pirate de l’espace épris de liberté. Condamné à mort, il demeure insaisissable. Albator a choisi d’affronter la Coalition GAIA.

Affiche Albator 3DLe film est fidèle à la trame habituelle des Albator, mais l’histoire a su s’adapter à un public devenu adulte, désormais capable de supporter un héros plus sombre que jamais. L’animation est quant à elle assez fantastique pour un film qui n’a coûté « que » 30 millions de dollars (Monstres Academy en a coûté 200). C’est beau, bien mis en scène et on retrouve notre capitaine charismatique. L’oiseau rigolo est le seul vestige du côté humoristique de la série, mais on n’est plus là pour se marrer ! 🙂

Pour moi, c’est le résumé de toute une enfance qui tient dans ce film. Il n’est certes pas transcendant, mais reste très bien et saura séduire toute une génération de trentenaires nostalgiques. Je ne vous en dit pas plus, allez le voir, surtout qu’il passe encore au Rex cette semaine dans la grande salle (il a kické la Reine des neiges en salle 2 !).

Je vous invite à un petit récap’ (non exhaustif) en générique et bandes annonces :

Albator 78 :

Albator 84 :

http://www.dailymotion.com/video/x6a1q4_generique-albator-84_shortfilms

Harlock Saga :

http://www.dailymotion.com/video/x933ep_harlock-saga-opening-ending_creation?search_algo=2

Albator 2013 :

Et n’oubliez pas de passer de bonne fêtes !

J’ai vu La Reine des neiges (oui, je sais…)

Avec Titoque, samedi dernier, on s’est dit qu’on irait voir un film d’homme velu. Lui voulait voir Thor armé de son Mioumiou magique, et moi Le Hobbit (qui, et oui, a les pieds velus). Après avoir longuement négocié, nous nous sommes fiés à mon instinct qui disait de sa petite voix lugubre : « Emmène la dans la cave, et n’oublie pas ta pelle et les sucreries »… Quoique, attendez, c’est pas le bon instinct. C’était plutôt : « Allons voir un film qui nous plait à tous les deux, un Disney est une valeur sûre ! »

Sauf qu’une fois entrés dans la salle, de petits lutins sont venus s’installer tout autour de nous. Ce n’était pas Noël et ils n’avaient pas le regard bridé de ces petites personnes qui fabriquent nos cadeaux. En y regardant de plus près, c’était juste des mioches. C’est là que je fus pris d’une petite suée, amplifiée par la bande annonce de la Féé Clochette 18 : Gangbang dans le peuplier. Et si ce film était un agglomérat de scènes cucues avec des personnages mielleux ?

Le film commencé, je suis rassuré. Il s’agit d’une sorte de Raiponce. Ca chante, ça danse, c’est classique et fatalement cucu, mais ça se regarde. C’est au pire « très beau » et on notera la présence de Dany Boon dans le rôle du bonhomme de neige Olaf qui crève dans d’atroces souffrances à côté d’un poêle à mazoute (spoil ?).

Voilà, je voulais faire mon coming out : j’ai vu la Reine des Neige, j’ai honte… Mais Titoque aussi !

Une petite bande annonce peut-être ?

Les fans de 3D trouverons que la neige est très bien faite. 🙂
Ah, et le court metrage du début avec Mickey est excellent aussi, je vous le retrouverai.

Sauvegarder en ssh sur un NAS Synology

Maintenant que le blog a son propre serveur, il est temps de faire mes sauvegardes moi-même comme un grand. Pour ça, une petite copie de fichiers par SSH me bottait bien. C’est très simple, sécurisé et de bon goût. Les barbus connaissent déjà et ça se trouve facile sur le Net, alors je vais rester concis et me contenter de mettre quelques liens.

Sauvegardons :

Si vous ne savez pas générer vos dumps de sauvegarde, sachez que vous pouvez – par exemple – créer des archives monolithiques contenant une arborescence de fichiers en tar.gz ou des dumps sql pour vos bases de données. Pour vous simplifier la vie, vous pouvez aussi utiliser des outils comme Ninja Backup (merci à Pierre pour la découverte).

Copions  :

Pour copier vos sauvegardes facilement sur un NAS Synology via SSH et en indiquant un mot de passe, commencez par installer sshpass. Il permettra de spécifier un mot de passe avec scp, ce qui est impossible à automatiser avec scp seul .

# yum install sshpass

Habituellement, on vous dira que stocker le mot de passe c’est mal et qu’il vaut mieux utiliser un système de clé privée / clé publique, mais je ne bosse pas à la NSA, alors voici la belle ligne de commande à lancer sur le serveur source, combinant scp et sshpass :

# sshpass -p 'xxx' scp -rp /mon/chemin/local/source/* backuper@nas.mondomaine.com:/volume1/ma/destination/

nas.mondomaine.com est l’adresse de votre nas, backuper est le nom du compte créé sur le NAS et xxx est son mot de passe. Les options r et p précisent que la copie est récursive et préserve les dates des fichiers copiés. Bien sûr, vous pouvez planifier cette sauvegarde via crontab

La partie qui nous intéresse : sur le Synology :

Je sais bien que les mises à jour du Synology écrasent parfois les modifications. On va donc limiter les manipulations : 

  • Créez un utilisateur avec des droits d’écriture sur le répertoire cible via l’interface web (voir capture plus bas).
  • En SSH, ouvrez le fichier /etc/passwd et modifiez la ligne de votre utilisateur : assurez-vous qu’elle se termine par : /bin/bash et non pas /sbin/nologin.
  • Vérifiez que le SSH est activé sur votre NAS.
  • Vérifiez que le port SSH (22) est ouvert en entrée sur votre routeur.
Backuper Rights
Droits de l’utilisateur Backuper. Cliquez pour agrandir.

Vous pouvez alors effectuer vos sauvegardes, et si vous voulez sécuriser un poil plus, regardez comment utiliser les clés publiques et privées.

C’est tout. 🙂

Home sweet home (le blog a changé de serveur)

Le blog a été fraîchement migré, soyez donc les bienvenus !

Mais n’oubliez pas vos patins pour ne pas rayer le parquet !

Peu de changements pour vous, mais plus pour moi :

  • un nouveau serveur
  • un nouveau système de commentaires
  • une mise à jour en version 3.8 de WordPress
  • un changement d’adresse de northgate.fr en blog.northgate.fr
  • de nouvelles ambitions pour le serveur qui va héberger d’autres blogs et outils

J’espère que 2014 va être chouette sur le sujet.

Have fun !
Spi.

Que s’est-il passé sur YouTube en 2013 ?

Le site a beau être un désastre pour les abonnés free et un cauchemar pour les youtubers amateurs, je vous présente un aperçu de l’année 2013 selon le site de streaming le plus encombré au monde. Ce sera aussi l’occasion de tester le nouveau serveur du blog, accrochez-vous, ça va faire « pouf » !

Assez étrangement, cette vidéo passe bien, même chez free. 🙂

Invictus

Dans les ténèbres qui m’enserrent,
Noires comme un puits où l’on se noie,
Je rends grâce aux dieux quels qu’ils soient,
Pour mon âme invincible et fière,

Dans de cruelles circonstances,
Je n’ai ni gémi ni pleuré,
Meurtri par cette existence,
Je suis debout bien que blessé,

En ce lieu de colère et de pleurs,
Se profile l’ombre de la mort,
Et je ne sais ce que me réserve le sort,
Mais je suis et je resterai sans peur,

Aussi étroit soit le chemin,
Nombreux les châtiments infâmes,
Je suis le maître de mon destin,
Je suis le capitaine de mon âme.

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Out of the night that covers me,
Black as the pit from pole to pole,
I thank whatever gods may be
For my unconquerable soul.

In the fell clutch of circumstance
I have not winced nor cried aloud.
Under the bludgeonings of chance
My head is bloody, but unbowed.

Beyond this place of wrath and tears
Looms but the Horror of the shade,
And yet the menace of the years
Finds and shall find me unafraid.

It matters not how strait the gate,
How charged with punishments the scroll,
I am the master of my fate:
I am the captain of my soul.

Invictus, William Ernest Henley.

Google représente 96% du trafic de ce site.

Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais google est maintenant le site web incontournable de ce siècle, sans doute loin devant Facebook. Au point que certains le confondent avec Internet. Voici une illustration des provenances des visites de ce blog : 96% des utilisateurs atterrissent ici après une recherche sur un moteur de recherche Google. Impressionnant, et pas très bon pour la diversité.

Qui d’entre vous n’a pas Google en page d’accueil sur son Chrome aujourd’hui ? 😉

Google Master

J’ai vu Hunger Games 2 : l’embrasement

Je crois que la dernière fois que j’ai parlé d’un film c’était Oblivion, une nième ôde à Tom Cruise. Ce qu’il peut être détestable ce garçon… Après avoir détruit l’équipe Mission : Impossible pour en devenir l’unique héros, il a continué de nous gaver avec Jack Reacher, le clodo solitaire et il va sans doute encore nous éclabousser de son aura pendant quelques années. Ajoutez à ça que c’est un demeuré scientologue et je pense qu’on a là un bon acteur dont les films nous apportent notre dose quotidienne en légume et navets (mangerbouger.com). Il vous reste un peu d’aura, là…

Mais bref, je m’égare déjà alors que je voulais vous causer des jeux de la faim 2. Humhum, Ce weekend, je suis donc allé voir la suite des Hunger Games ! Katniss Everdeen et Peeta Mellark étant sortis victorieux des 74èmes jeux, ils sont maintenant contraints de faire ce que l’on attend d’une dauphine de Miss France, à savoir se taper des buffets campagnards et aller se faire vomir dans un coin. Malheureusement, la vie n’est pas rose car Katniss qui incarne malgré elle l’espoir de jours meilleurs, attise un vent de rébellion au sein des districts et atterrit directement dans la ligne de mire du président Snow.

On m’avait dit que le deuxième tome serait mieux que le premier mais je n’y croyais pas vraiment. A l’évidence; c’était un tort car je n’ai pas vu passer les 2h30 de film. On accompagne volontiers Katniss à travers son calvaire émouvant et la pseudo histoire d’amour reste au second plan (haters de Twilight, tout va bien). Franchement, si vous avez aimé le premier, vous kifferez votre mémé avec le second, foncez ! Foncez, j’vous dit !

La bande annonce ne défleure pas trop l’histoire :

http://www.youtube.com/watch?v=VMrJGNbPheA

J’ai re-vu : un match de football à Lens

Je sais, je sais, j’avais dit que je n’y retournerai pas. Mais en fait, il faut bien avouer que l’idée d’une sortie entre amis et vague connaissance était tentante. Un très bon samedi s’est donc finalement offert à moi avec un match de foot, une pizza et une soirée jeux de société au cours de laquelle j’aurai fait preuve de la plus parfaite mauvaise foi.

A l’entrée du stade, j’ai enfin eu droit à mon pelotage de fesses lors de la fouille. Au vu de la procédure, il semblerait que le supporter ait plus tendance à planquer une bouteille de Kro dans son rectum qu’une machette dans son pantalon. Je tiens à préciser que, contrairement aux rumeurs qui ne manqueront pas d’être propagées dans les commentaires, non, je n’ai pas fait le queue pour une seconde fouille et non, je n’arborais pas un sourire béat.

J’ai appris que le match était moins cher car moins « palpitant » que Lens-Caen. Il s’agissait cette fois d’affronter Châteauroux et le moins que l’on puisse dire est que leurs supporters sont… disons concentrés.

Public Chateauroux contre Lens
Oui, le petit tas de moules collées à leur rocher, c’est eux.

Le match s’est conclu par un 2-0. J’en déduis qu’un but vaut 2€ sur mon billet. Bien entendu, je ne suis pas bonne personne pour parler mais c’était suffisamment distrayant pour que je ne voie pas les 90 minutes passer. On a appris que deux gros pontes se sont pointés en Mercedes dont un gros animateur de Canal + qu’on aura installé dans les gradins à l’aide d’un transpalette. Après recherche, la description correspond à un monsieur du nom de Pierre Ménès qui, manifestement ne pratique pas le sport qu’il commente.

Je voudrais enfin saluer Stéphane et Cher (les noms n’ont pas été changés, on ne les connaissait juste pas) qui nous ont expliqué que toute sortie était définitive. Cher, tu dois travailler ton relationnel.

 Stade Félix BollaertAmis footeux, je n’irai pas juqu’à dire que j’ai maintenant de l’estime pour vous, mais je commence à comprendre un peu votre enthousiasme (c’est le mieux dont je suis capable, contentez-vous en).