Archives de catégorie : Geek

Voiture sans pilote, un rêve prend vie.

Cette voiture n’a pas besoin de vous 😉

Les années 2000 ont peut être déçu certains d’entre nous qui attendaient impatiemment des technologies rigolotes issues de nos séries préférées. Pas de voiture volante, d’énergie verte, de voyages commerciaux dans l’espace, de téléportation… Mais ne soyons pas défaitistes car outre la fin progressive de la démocratie, une autre vision de SF prend vie : la voiture sans conducteur.

Aujourd’hui, des voitures conçues par Google savent conduire seules. Et ça, après la reconnaissance faciale sur de bêtes appareils photo, c’est sans doute ma nouvelle claque.

En associant une bardée de capteurs, des données géographiques très détaillées et des ingénieurs repérés au DARPA Challenge (qui consiste en la conception de véhicules autonomes), Google a mis au point un modèle de voiture qui a parcouru près de 500 000 km sans accident. Et mieux encore, la firme a tellement confiance en sa voiture qu’elle s’apprête à laisser ses employés les utiliser sans l’assistance d’un technicien.

Une petite vidéo impressionnante (en anglais).

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Et si on faisait du Raspberry Pi un player multimédia ?

Aujourd »hui, je vais vous parler d’une trouvaille honteusement pompée à Jefflec. Mais après tout, il a commandé un Raspberry en suivant mon illustre exemple, alors ce n’est que juste retour de bâton dans sa g… des choses. 😛

L’outil de préparation de la carte SD

L’idée est de voir ce que le Pi vaut en centre multimédia. Le candidat du jour est RaspBmc.
A terme, j’aimerais bien en faire une sorte de radio réveil et qu’il allume directement la TV sur une série ou une musique stockée sur le NAS. Mais ça, c’est un fantasme perso.

Allons-y. L’installation se fait simplement en téléchargeant un petit soft pour Windows ou Mac et Linux. La préparation de la carte est rapide, mais vous aurez besoin d’une connexion au web pour votre Raspberry. Il va télécharger le reste de son contenu tout seul comme un grand (ça peut être un peu long à booter après la découverte du DNS). Comme tout est téléchargé, ça peut prendre une dizaine de minutes…

Patience…

Des premiers moments se dégage une bonne impression de professionnalisme. Pas de problème de caractères accentués, ni d’erreurs au beau milieu d’une lecture. Etrange, j’attends le piège.

Premières impressions :

  • Au début, ça rame un peu à cause des updates, le CPU est au taquet. A voir ce que ça donne une fois en vitesse de croisière.
  • Bonne surprise : l’UPnP est très bien supporté et je peux lire le contenu du NAS. Utile, puisqu’on ne mettra pas grand chose comme film sur une carte SD.
  • Le serveur est contrôlable à distance en HTTP.
  • L’interface est fluide hors vidéo HD. Une fois ramenée en 720p, ça ne rame plus (comme la freebox).
  • Le HDMI porte la piste audio.
  • Pas trop de mal à lire un MKV en 720p, mais impossible de lire un WMV en 720p comme on pouvait s’y attendre.
  • Fonctionne avec la télécommande Android XMBC.
  • Le HDMI-CEC (AnyNet chez Samsung) permet de configurer la TV pour utiliser la télécommande de la TV pour contrôler le Pi et ça marche ! Il suffit non pas de se connecter à la source HDMI mais à la source HDMI-CEC nommée XMBC. L’interaction est assez poussée.

Bon, demain je lui regarde les entrailles.

Prochaine extension WoW : Mists of Pandaria (cinématique)

MoP, ah non merde.

Il y a quelques jours, Blizzard a publié la traditionnelle cinématique d’ouverture de sa prochaine extension : Mists of Pandaria. C’est tout de même la quatrième en 7 ans, les enfants. Un bel exploit.

Enfin, si personnellement, j’ai décroché de WoW au prix d’un salaire investi dans patches et thérapies, j’apprécie tout de même la venue d’un nouveau continent peuplé de pandas qui font du kung-fu. Je peine cependant à croire que tout cela sera suffisant pour relancer l’intérêt des joueur dans un MMORPG qui peine à se renouveler. Mais qui sait.

Allez, répétez après moi : les pandas c’est tabou. On en viendra tous à bout.

VF :

VO :

Et pour le même prix, voici les cinématiques d’introduction pour l’Alliance et la Horde en VF.

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Premiers pas avec le Raspberry Pi

Désolé les enfants, il va vous falloir causer la langue des roux pour vous en sortir.

Prise micro USB
Pour une bonne ratatouille, voici ce dont nous allons avoir besoin :

  • Une carte SD d’au moins 4 Gos de classe 4 + une machine avec un port SD card (forcément, ça aide).
  • Un câble HDMI de qualité quelconque
  • Une alimentation directe USB / micro USB comme sur les téléphones Samsung.
  • Une souris sur port USB, ça peut être pas mal pour l’interface graphique.
  • Et un peu de sucre en poudre.

Le tout acheté neuf vous coûtera plus cher que la Framboise…

Pour jouer avec :

  • Commencez par télécharger un OS qui va bien. Si vous pigez que dalle au grand breton, choppez le premier : Raspbian “wheezy”.
  • Téléchargez ensuite de quoi graver l’image. Si vous n’êtes pas une espèce de barbu ermite, il est fort probable que vous soyez sous Windows. Choppez donc Win32 Disk Manager.
  • Décompressez le zip de l’image et le logiciel dans un coin en local de la machine qui possède le sacro-saint port SD.
  • Lancez Win32DiskImager.exe, choisissez l’image et le lecteur de carte SD. Cliquez sur Write. Facile !

Lors du premier boot, vous avez la possibilité de configurer pas mal de choses dont les locales et de préciser que la partition doit prendre tout l’espace disponible.

Après un petit reboot, voici la page qui vous accueil :

Premier pas dans la framboise 🙂

Reste à voir ce qu’on va faire avec tout ça maintenant ^^

Raspberry Spi (haute def)

Coucou, me revoilou + Arrivée du Raspberry Pi

Je suis parti pour un petit weekend du 15 août et certains se sont inquiétés de ma disparition (ceux qui m’avaient prêté des affaires, j’imagine 😉 ).

Rassurez-vous (ou pas), me revoilà. Quel délice de retrouver les parisiens et le ton condescendant qui va avec. Quel bonheur de de trouver 40° et une pollution « élevée« . Quelle merveille d’avoir un frigo vide un dimanche soir. Et puis pfff, déjà nostalgique du weekend.
Bref, j’ai besoin d’un câlin.

Bon, sinon, j’ai reçu mon Raspberry Pi. Evidemment, tellement en avance que je n’ai pas de carte SD pour le tester.

Pour vous donner une idée du bestiau, voici sa bouille avec une carte format CB.

La framboise est arrivée !

Commandé le 5 août chez Farnell, expédié le 13 et arrivé entre le 16 et le 18.

Pour ceux qui n’ont pas suivi : ce truc est un petit PC qui coûte 35$ (41.32€ avec les frais de port). On trouve dessus :

  • Coeur
    • Un CPU ARM 700 Mhz (du genre de celui de nos smartphones)
    • 256 Mos de RAM (enfin, Mibis)
    • Un GPU capable de lire des vidéos MPEG4 en HD
  • Périphériques
    • 2 ports USB utiles (1 pour l’alim)
    • Un port HDMI, un port Composite RCA pour la vidéo.
    • Une sortie stéréo par jack 3,5 mm
    • Stockage sur carte SD
    • Un port ethernet 10/100
    • etc.

Se procurer :

Donc, y’a plus qu’à. Je vous tiens au jus. 😉

Présentation de l’atari 2600

Chers internautateurs et internautatrices, aujourd’hui je vais m’attarder sur une des premières consoles de salon : L’Atari 2600.

Cette console est restée sur le marché de 1977 à 1991, soit pendant 14 ans. La machine était relativement limitée mais elle a tout de même vu l’apparition de jeux tels que super Mario.

Pour une dose de nostalgie et surtout une bonne dose d’humour je laisse la présentation à Frédéric Molas très connu sous le pseudonyme du « Joueur du grenier ».

Bon visionnage et passez un très bon week end.

En vous remerciant…

Edition du 13/09/2012 par Spi : Revenant de Paris Manga 2012, je vous colle vite fait une petite photo volée à notre joueur du Grenier qui était présent sur le stand Super Marcus World.

Le joueur du grenier, Paris Manga 2012 (cliquez pour agrandir).

Bug du z-index sous IE6

Source : Jerusalem Style

Prélude

Vous allez commencer par me dire : « mais qui utilise encore IE6 ? Même Microsoft milite pour son éradication ! » Et bien le fait est que quand les entreprises s’équipent en navigateurs, c’est pour le (très) long terme.

IE6 était bien pour une seule chose, il allait contre une règle de boxing du W3C qui fait hièch en ce moment. Elle faisait que lorsqu’on définissait 100% de largeur, borders et margins étaient compris dedans. A part ça, c’est un dinosaure dont on aimerait se débarrasser.

The bug

IE 6 possède un bug « rigolo » :

In Internet Explorer positioned elements generate a new stacking context, starting with a z-index value of 0. Therefore z-index doesn’t work correctly.

Pour ma part, j’ai eu à traiter ce problème sur les thèmes d’un portail Intranet. Les thèmes ont été ajaxisés et, s’ils conservent leur apparence, les imbrications provoquent le splendide bug de z-index : des menus déroulants passent derrière des objets sans z-index et positionnés en aval dans le flow du code. Comme je ne souhaitais pas repasser sur tous les thèmes tout de suite, j’ai fait un petit script qui fait ce ceci :

  1. Il ne traite que les navigateurs IE6, IE7 et IE8 en mode compatibilité (IE7, quoi). IE5 est tout de même considéré comme mort.
  2. Il récupère les positions absolues des éléments incriminés à coup de jQuery offset.
  3. Il décroche les éléments de leur position dans le DOM.
  4. Il les réinsère à un niveau élevé (genre le body) et les installe confortablement en position absolue.

Ainsi, les éléments sont situés en dehors du méga-bordel généré par le portail et il n’est pas nécessaire de trifouiller la génération des pages (ouf).

Evidemment, cette approche a ses limites car l’offset n’est pas toujours très très précis. Il existe d’autres workarounds pour des solutions moins extrêmes quand vous avez la maîtrise totale du code HTML. Je vous invite à y jeter un oeil car la mienne est un dernier recours.

Voilà, j’espère que cette alternative pourra tirer quelques âmes perdues d’un petrin immédiat. Mais ce n’est pas une solution à long terme (donc en fait si).

Crysis 3 : la bande annonce dont vous êtes le héros

 

A la pointe de la technologie : une nanosuit et… un arc.

EA à mis en ligne il y a quelques jours une nouvelle bande annonce de Crysis 3 qui a l’originalité de vous proposer un peu d’interactivité. Choisissez une approche en douceur en utilisant votre arc ou bourrine avec la puissance de feu d’un petit char d’assaut.

Votre terrain de jeu sera une nouvelle fois New York. Le temps a passé et la ville en ruine est envahie par la jungle. Autrefois symbole de la puissance américaine, Manhattan est isolée du monde par un gigantesque dôme.
Quant à vous, équipé de votre fidèle Nanosuit qui doit commencer à sentir la transpiration, vous vous frayez un chemin pour… Ben en fait, on sait pas bien encore pourquoi.

Petit bémol : au temps de la démo de Farcry, les balles avaient une vitesse de déplacement raisonnable (visible). Malheureusement, les développeurs avaient cédé aux règles du FPS qui veulent qu’une balle tirée atteigne instantanément la cible. C’est ridicule, mais c’est ainsi. Je trouve dommage que dans cet extrait, ce soit également le cas avec l’arc qui est plus efficace qu’un fusil de sniper.

Pour voir un extrait de la liberté d’action que compte nous proposer Crytek, voyez l’article : Crysis 3 – Trailer VO

 

Se connecter à un NAS Synology en SSH (ligne de commande)

Pour ne pas polluer l’article original (NAS Synology : Afficher les médias d’un disque USB externe en DLNA/UPnP), je vais expliquer très rapidement comment se connecter à un NAS Synology en ligne de commande :

1. Activer SSH

Tout d’abord, activez l’accès SSH dans l’Interface web du NAS. Ca se situe dans Panneau de configuration / Terminal. Cochez « Activez le service SSH ».
N’activez pas le service Telnet, il n’est pas sécurisé.

Pour info :
– Le SSH (pour Secure SHell ) permet de jouer de la ligne de commande à distance sur votre NAS.
– Notre NAS dispose d’un Linux embarqué, il peut donc vous être utile d’apprendre quelques commandes de base.

Options du terminal (cliquer pour agrandir)

2. Se connecter avec un client SSH

Téléchargez maintenant un client SSH. J’en connais deux qui fonctionnent très bien : Putty et MobaXTerm. Ici, je vais utiliser le premier.

Saisissez le nom réseau ou l’adresse IP privée du NAS et connectez-vous.

Connexion au NAS en SSH (cliquer pour agrandir)

Lorsqu’un compte vous est demandé, vous pouvez vous connecter en « admin » ou plus balèze en « root » avec le mot de passe du compte « admin » (oui oui, pour root aussi).

Vous y voilà.

Bien sûr, si vous souhaitez utiliser un accès extérieur, vous devez configurer votre routeur pour ouvrir le port 22 (exemple pour une freebox revolution).

Facebook, vers la fin de l’anonymat ?

Aujourd’hui, j’ai envie de promouvoir un petit article de OWNI, un site d’information qui remue les tréfonds d’Internet. L’article, c’est Facebook invite à la délation.

Cet article est assez édifiant quant à la politique du géant des réseaux sociaux en matière de vie privée. Attirez les petits poissons avec de l’amorce et une fois qu’ils sont tous bien habitués à manger gratis, pêchez les.
Longtemps les utilisateurs ont eu peur que l’annuaire devienne payant, mais Dieu merci, ce n’est pas leur modèle économique. Ce qui l’est par contre, c’est l’agrégation de vos données.

Pour vraiment tout savoir sur vous, il faut maintenant vous forcer à utiliser vos véritables données personnelles. C’est pourquoi, il arrive à FB de demander à vos connaissances de confirmer votre identité.

Les internautes utilisent Facebook pour rester en contact avec leurs amis et leur famille, pour savoir ce qu’il se passe dans le monde et pour partager et exprimer ce qui importe à leurs yeux. Ils tireront le meilleur du site en utilisant leur véritable identité. Cela permet un environnement plus sécurisé et digne de confiance pour tous les utilisateurs.

Pour la plupart d’entre vous, l’anonymat n’est pas indispensable, c’est peut-être même l’apanage des lâches. Cependant, l’anonymat vous protège, l’anonymat est indispensable, l’anonymat est un droit. Du moins, tant que la justice n’est pas concernée.

FB va finir par vous obliger à révéler votre identité pour continuer à faire part du monde, de leur monde.

Source : Une minute dans le web

Soyons en juste conscient.