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Google Maps Navigation : Au revoir Tomtom

Hello tout le monde.

J’ai été bluffé en découvrant le dernier gadget de Google qui mérite d’être partagé avec les plus riches d’entre vous. Le moteur de recherche a lancé une version (bêta) de son propre GPS dont toutes les données sont dans le « cloud » de la boite.

Alors, ça a l’inconvénient de consommer votre forfait 3G illimité, mais ça vous offre la possibilité d’avoir accès à des informations en quantité phénoménale et toujours à jour.

Quelques fonctionnalités :

  • Recherche vocale intuitive
  • Recherche sur itinéraire basée sur les points d’intérêt Google Maps
  • Etat du trafic
  • Vue aérienne type Google Earth
  • Vue des changements de trajectoire avec Street View

En gros, c’est un GPS couplé avec Google Maps. Très adapté aux smartphones.

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=tGXK4jKN_jY&feature=player_embedded]
Existe en français à configurer ici (transcription français).

Je précise que c’est un soft pour Android. Il ne fonctionne donc que sur les Smartphones Google, pour l’instant.

C’est cool d’être encore surpris 🙂

Evolution des OSs de téléphones mobiles

Après le twit indiquant qu’Android venait de passer devant iOS, j’ai eu envie d’enfoncer le clou avec un beau graphique.

On y découvre la baisse constante de RIM (BlackBerry, jadis seul sur le créneau des smartphones) et aussi celle de Windows Mobile dont l’asthmatique version 6 sera bientôt remplacé par un OS remanié. Quant à Symbian (Nokia), il reste marginal, le téléphone haut de gamme ce n’est pas (plus) son truc…

La bonne surprise, c’est donc l’explosion d’Android qui semble prendre des parts de marché à tout le monde. Un OS qui semble de qualité, un public satisfait, tout va bien pour Google, si ce n’est son Nexus One dont la vente en ligne fut un flop.

Vu les problèmes de l’iPhone 4, on peut espérer que la dégringolade se poursuivra et qu’elle sera plus entâmée encore avec la venue de Windows Phone 7.

Source : Numerama.

Dois-je adopter un coyote ?

Un peu d’explication avant de me lancer. Un Coyote est un appareil composé d’un récepteur GPS et d’une puce GPRS permettant d’échanger des données via le réseau téléphonique mobile.
Son seul but est de prévenir de la position des radars fixes (un classique dans les GPS de navigation) et de celle des radars mobiles (là, c’est déjà moins répandu). Chaque membre de la meute de Coyote a la possibilité de signaler la position d’un radar.

On me demande parfois si ça a un intérêt d’en acheter un. La réponse dépend uniquement de votre comportement routier.

  • Si vous êtes un warrior de la route et que vous assumez vos excès de vitesse, le coyote est fait pour vous. Attention cependant à ne pas abuser du sentiment d’impunité qu’il procure. Le boîtier n’est fiable que si le radar a été repéré par un éclaireur de la meute à l’oeil de lynx. Vu les efforts de camouflage de certains képis, méfiez-vous.
  • On parlait d’étourderie au volant. Si vous êtes étourdis au point de vous faire systématiquement chopper en excès de vitesse, alors non, un Coyote n’est pas utile. Ce qui rendra vraiment service à la société, ce sera de laisser votre caisse à la maison et de rendre le corps du garçonnet coincé sous votre garde boue afin que sa famille puisse faire son deuil.
  • Vous flippez. Vous ne vous rappelez plus des limitations de vitesse, pour vous le policier est un enfant de Satan dont le seul plaisir est de vous voler votre argent et vos points. Dans ce cas, votre tranquillité d’esprit vous coûtera 12€ par mois. Je peux comprendre le parisien nerveux.
  • C’est votre façon de lutter contre l’implantation de radars automatiques. Allons, à qui allez-vous faire croire ça ? 🙂
  • Vous êtes livreur de pizza et on se demande par quel miracle vous avez vécu jusqu’à lire ces lignes…

Alors, le Coyote est-il utile ? Je dirai non, pour peu que l’on respecte les limitations de vitesse et en supposant que nos amis les policiers ne sont pas des pervers (le sont-ils ?).

Par contre, sachez qu’il existe des GPS TomTom Live (dont Lucky est « fan ») qui incluent les notifications de Coyote. Live ne se contente pas que de signaler les radars, il utilise le net pour trouver des POI Google et adapter les itinéraires au traffic. Un GPS Live à 279€ + 10€/mois me semble déjà plus attractif qu’un Coyote à 130€ + 12€/mois.

Google TV vous donne (lui aussi) le contrôle de votre TV

Nous avons déjà beaucoup parlé du modèle de distribution de média devenant obsolète. Le temps est à la dématérialisation, au besoin d’accéder à l’information tout de suite. Et pour la TV, c’est pareil, nous sommes nombreux à lui préférer Youtube & co, pour retrouver une vidéo dans la seconde.

Google TV n’est pas une révolution, c’est un petit bout d’OS léger intégré à votre téléviseur (ou dans une box à part) qui vous permettra :

  • d’enregistrer vos programmes,
  • d’accéder au Web,
  • de visualiser vos contenus multimédias sur votre TV
  • d’installer des applications de l’Android Market (l’App Store de Google),
  • d’effectuer des recherches sur votre contenu via le moteur intégré.

Alors, qu’est-ce que ça fait de plus que votre freebox, votre disque dur multimédia ou votre PS3 ? Pas grand chose sans doute, mais c’est Google quoi…  Pas un OS vite fait. Et surtout, ce n’est pas un iPad 😉

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=vS0la9SmqWA&feature=player_embedded]

Ca a beau être sympa, je passe pour la box. Par contre, intégré à la TV, ça devient plus intéressant (faut voir le prix).

De l’importance de l’identité sur Internet

Aujourd’hui, j’ai eu envie de causer d’un sujet qui est en train de bouger : l’anonymat sur Internet.

D’un côté, le gouvernement dit : on doit toujours savoir qui vous êtes. Pas question de vous balader avec une cagoule. D’un autre, on vous invite à ne jamais laisser de coordonnées personnelles sur le Net. Et pour concilier les deux, on vous propose le droit à l’oubli.

Le droit à l’oubli, ça ne marche pas. Rappelez-vous que sur le Net, les sites sont gratuits grâce à la publicité (ou de joyeux bénévoles, mais c’est une autre histoire) et vos informations personnelles sont au coeur de la machine marketing.  Quelles sont vos coordonnées, vos envies, vos préférences sexueulles, la taille de vos attributs…

Tout, la machine veut tout savoir. Google, Facebook et consort sont bien versés dans la collecte d’informations personnelles. Mais eux, ils sont obligés de vous écouter au moins un peu quand vous réclamez votre droit à l’oubli sous peine de faire les gros titres comme c’est arrivé. D’autres se sentent moins forcés de le faire et vous arrosent régulièrement de publicités quoi que vous puissiez dire.

Internet, c’est une foire immense que les autorités se plaisent à essayer de contrôler (comment contrôler ce qu’on ne comprend pas ???). La loi vous oblige à donner vos coordonnées sur votre blog comme le rappelait Dju. Sur ce point, je suis un « criminel » car je refuse que mon nom soit associé à ce blog. Si je fais un article plein d’humour noir, je ne veux pas qu’on puisse y associer mon vrai nom.  Combien de fois a-t-on entendu des histoires d’employeurs ayant visité les pages facebook de leur futur employés qui ont changé d’avis ?

Internet n’est pas gentil, il n’est pas méchant, c’est un outil. J’estime qu’en conseillant aux jeunes de ne pas publier leurs coordonnées personnelles, je suis dans le bon. J’estime aussi que le conseiller aux adultes est aussi une bonne chose. Cherchez « Spi », vous trouverez mon avatar, cherchez mon nom, je n’existe pas. Je suis cependant facilement trouvable par les autorités.

Blizzard, l’éditeur de WoW a décidé de publier à l’avenir les vrais noms de ses joueurs dans les forums. Je ne suis ni pour ni contre. Comme dirait Jeff : « tu l’aimes ou tu le quittes ». Le point positif, c’est que les gens seront plus responsables. Le point négatif ? Ils n’ont pas le choix.

Internet n’étant pas un espace régulé efficacement par les lois, je conserve mon masque. Et vu les lois qui se préparent, je ne crois pas qu’elles vont nous aider.

NAS DS210j

On fait tous des erreurs, mais parfois, moi je peux passer 8h sans en faire (la nuit souvent). De mémoire, la plus récente a été de présumer que je monterai un serveur multi-usage en RAID1. Haha ! C’était sans compter sur la machine de mes parents qui a cramé et qu’il a fallu remplacer au pied levé (ne suis-je pas un fils adorable ?). Résultat, à peine montée, plus de machine chez moi.

Pas bien grave, c’était le moment de revoir ma copie. Avec un RAID1 logiciel virtualisé sous Linux et une machine de 300w allumée en permanence, je décidai de couper court à mes fantasmes et d’acheter… un bête NAS. Un NAS (Network Attached Storage), à la base c’est une simple unité de stockage connectée à votre réseau local. Mais chez Synology, ils voient ça autrement. Pour eux, c’est un tout petit PC (128 Mo de RAM, processeur à 800Mhz) sous Linux qui fait plein de chose.

Par exemple, voici quelques fonctionnalités du DS210J :

  • RAID 0 / 1 / JBOD
  • Sauvegarde locale ou réseau (RSync)
  • Partage de fichier
  • Album photo
  • FTP
  • Serveur multimédia
  • Station de partage de fichier WEB
  • Diffuseur multimédia (DLNA)
  • Streamer audio (genre Deezer)
  • Station de téléchargement autonome (P2P, eMule…)
  • Monitoring
  • Interface de gestion accessible par le Web (dont HTTPS)
  • Gestion de l’économie d’énergie
  • Etc.

Impressionnant, non ? Encore plus quand on connait son prix vis à vis des autres marques (180€). Bon, évidemment, c’est limité. Ca n’accepte que quelques utilisateurs en simultané et surtout, ce n’est pas customisable. Autre truc auquel penser : votre débit d’upload via Internet n’est pas forcément fameux (chez moi 100 misérables Ko/s), donc imaginez qu’un lourdingue viennent vous piller votre intégrale de Candy, lui télécharge à 100 Ko/s et vous, ben vous n’avez plus que l’équivalent du débit d’un modem RTC.
En contre partie, ça consomme peu, c’est ergonomique (installation facile) et ça fonctionne très bien (firmware mis à jour comme une fleur, jamais d’erreur système).

J’ai ouvert mon partage de fichier local et web en définissant les droits ainsi que l’album photo (qui fonctionne sur un autre mécanisme d’authentification, allez savoir pourquoi). Ca marche au poil jusqu’ici.

Pour un utilisateur souhaitant un produit bien fini, le DS210J est un bon outil de sauvegarde, mais aussi un sympathique serveur très riche en fonctionnalités.

Pour l’instant, je n’ai (heureusement) pas testé la réparation d’un disque RAID 1 « dégradé », mais tout est prévu 🙂

 

Le bureau d'un utilisateur autorisé à voir quelques répertoires et l'album de photos.

 

Sachez aussi qu’une communauté importante gravite autour de Synology. « Comme toujours lorsqu’un produit possède un coeur libre » me direz-vous.
C’est ici : http://www.nas-forum.com/forum/ (entre autres)

Pour un vrai test , c’est là : Test : Synology DS210j, un NAS d’entrée de gamme qui taquine les grands

Dernière chose, si je vous ai fait croire un jour que vous étiez une sorte de vague imitation d’ami ou que vous êtes de la famille, n’hésitez pas à quémander un accès. Je me ferai un plaisir de vous créer un compte (ou de vous envoyer balader, quoi qu’il en soit, ce sera toujours un plaisir).

Edit 09/2010 : Sachez que depuis septembre 2010 l’interface web d’administration (DSM) est passée en version 3.0. Ca apporte juste un peu plus de confort et du « multi-tâche ». La mise à jour s’est faite sans aucun problème pour moi. Le constructeur conserve son aura de fiabilité :).

Comic Con 2010

Cette année, nous sommes allés visiter le Comic Con avec Asymptot. Vous êtes nombreux à ne pas savoir ce que c’est, alors que c’est un des grands rassemblements de geeks en tous genres. Sur la version française, on trouve tout ce qui touche aux comics (bien sûr), aux web séries et séries TV, au cosplay, aux jeux vidéo, etc. Il y a aussi quelques dédicaces dont celle de Hideo Kojima, le créateur de la fameuse série Metal Gear Solid.

Hidéo Kojima en séance de dédicaces au Comic Con de Paris

Mais l’événement pour lequel nous étions présents, c’est l’avant première de Doctor Who saison 5. Cette série britannique relate les aventures du dernier Time Lord qui s’est pris d’affection pour la Terre et la protège. J’ai découvert le premier épisode et son making of, et c’est toujours du bon ! La salle était très motivée pour l’épisode et on espère bien voir des membres du staff de la BBC l’année prochaine !

[youtube=http://www.youtube.com/watch?v=EpbmMhNe6aA]

Si vous voulez en savoir plus, le spécialiste c’est Asymptot qui vous propose aussi la bande annonce de la nouvelle saison. Vous pouvez aussi jeter un oeil à l’article sur ma découverte de la série.

Un mix des photos prises au Comic Con.

A part ça, nous avons vu de loin un Adrian Paul (Highlander la série, voir photo ci-dessus en bas à gauche) bof bof, et surtout le stand French Nerd animé par François Descraques. Ils ont déplacé leur conférence, dommage. Ils avaient l’air fatigués de dédicacer en boucle.
Kurtzman sera désormais mon modèle dans le management de stagiaires (j’peux avoir un stagiaire ?).

Kurtzman, technonique man, Trueman (une demi seconde avant qu'il ne mette son doigt dans son nez)

Et puis bien sûr, leurs pendants côté Noob : la mignonne Gaea et le gay refoulé Omega Zell (qui s’il passe par ici, qu’il sache que je dois tirer ça d’un making of de Noob ^^).

Gaea et Omaga Zell

Et un bonus pour la fin :

J’aime pas les pommes

Depuis un moment (toujours diront certains), je joue mon asocial en partant en croisade contre Apple. Dans une période où ne pas aimer les téléphones de la pomme est une faute de goût, je voudrais quand même rappeler quelques petites choses.

Steve Jobs n’est pas un demi dieu.

Non, c’est un dieu. Ou plutôt le gourou d’une secte. Il a du charisme et sait brosser les foules dans le sens du poil. Mieux encore, il sait lire dans le cerveau de l’utilisateur et innover en conséquence. L’iMac a marchoté, l’iPod s’est bien vendu, l’iPhone s’est envolé. Mais pourquoi ??? L’iPod est pourtant un baladeur très limité avec une qualité de son médiocre !? Ben à coup de publicité et de manipulation des foules pardi ! Alliez innovation et matraquage publicitaire et vous avez … pom pom popom : Apple.
En même temps, quand plus de 90% du marché de l’ordinateur individuel est dominé par Crosoft, il faut bien vous demander : quelle population déçue du PC pourrais- je bien conquérir ? Et biens ciblons la niche du bobo adepte de beaux objets, de belles interfaces et de simplicité. Celui dont la femme a une new beatle. Ayé, vous le remettez ? Oui, c’est celui qui peut mettre le prix et qui veut un appareil bien fini sans avoir à se poser de question… Du tout. Et tant pis si l’appareil, l’OS et la marque sont bourrés de vices, il a du charisme, et ça, ça n’a pas de prix (?).

Apple applique des politiques anti-concurrentielles, mais il le fait bien.

Un truc amusant avec Steve, c’est qu’il ne fait pas de publicité, il prêche. « L’iPhone ne supportera pas Flash ! Adobe (l’éditeur) est un naze ! jamais, je vous dis ! » hurle le grand gourou. Ben ouais, sauf qu’il omet de dire que Flash, ben il le supporte sur iMac dans son navigateur Safari. Il oublie aussi de dire que Flash est suffisant pour faire des applications animées avec de belles interfaces et que ça pourrait bien concurrencer l’AppStore.

Tiens, tant qu’on en est à causer AppStore, en achetant un iPhone, vous acceptez la traditionnelle dictature d’Apple qui doit faire friser de colère le moins hippie des défenseurs de l’open source (celui qui s’oppose au bobo ?). Apple se réserve le droit de juger votre application et de décider si elle a le droit de siéger parmi les élues. Et en la matière, la loi c’est eux. Point.

On se rappellera le cas du navigateur Opéra qui a mis 20 jours avant d’être autorisé. Dilemme : ne pas autoriser un navigateur concurrent, ça fait mauvaise presse. L’autoriser, c’est une faille potentielle dans le modèle marketing : imaginez qu’il gère le flash !
Et ça, c’est un premier exemple. Apple ne pourra pas cacher bien longtemps son verrouillage derrière une promesse de sécurité. Son succès croissant finira par l’obliger à confronter en pleine lumière ses intérêts et celui du public.

Une citation de Benjamin Franklin levée par notre cher Dju me revient à l’esprit : « Quiconque sacrifie sa liberté pour plus de sécurité ne mérite ni l’un ni l’autre, et perdra des deux. » Sauf que cette phrase a été utilisée  par Dju dans un autre contexte : la défense des libertés contre le filtrage et de la censure amenés par Hadopi. Pensez-vous qu’un utilisateur d’iPhone sacrifie sa liberté pour du confort d’utilisation ? Je vous laisse y réfléchir. Imaginez le modèle iPhone appliqué sur vos PC et le mouvement que ça soulèverait.

Apple, le petit Microsoft

Un Mac n’a pas de virus, un Mac ne plante pas, un Mac sent bon et ne pète pas (y’a qu’à voir leurs pubs). Enfin, des virus, il en a tout de même quelques uns, mais la vraie question est : qui va s’intéresser à une machine qui représente une fraction des ordinateurs peu stratégiques du parc informatique mondial ?

Il faudrait balayer devant sa porte avant de se moquer ouvertement et avec arrogance de Microsoft. Prenons l’exemple Firefox. Fort de sa popularité, Mozilla a vite découvert que le Renard de Feu aussi, avait des failles à corriger. Plus l’exposition est grande, plus les risques le sont aussi. Le possesseur d’un Mac se lèvera un matin avec une machine enrhumée. Il faut juste attendre qu’un vil hacker se réveille en se disant « hé, mais y’en a un paquet des Mac maintenant ! ».

Apple ne peut pas encore concurrencer les OS PC.

Je vois mal Apple devenir le premier vendeur d’ordinateurs :

1. Ils n’ont jamais réellement eu pour but d’intéresser les développeurs, les informaticiens et pas même les employés. Il faut quand même se rendre compte que leur traitement de texte, c’est… Microsoft Office. Quant à l’offre serveur, elle est ridicule mais bien emballée. Leur coeur de cible, c’est le loisir, l’artistique. Pas dit qu’ils aient les moyens voire l’envie de s’attaquer aux mastodontes présents en entreprise.

2. Si Microsoft est critiqué pour ses abus de position dominante avec l’intégration par défaut d’Internet Explorer, que penser d’Apple qui fournit tout un tas d’outils multimédias ? Je me ferais discret à leur place.

3. Le problème de l’innovation, c’est qu’il faut avoir des idées. Et Apple a bien failli passer à la trappe par manque d’idées à la fin du dernier millénaire. C’est un peu dangereux, d’autant que depuis l’iPhone, aucune nouveauté marquante n’a vu le jour. Apple me semble fragile, bien qu’aujourd’hui leur image (solide elle) semble suffire.

Concluons.

Voilà pourquoi je n’aime pas Apple. Je n’ai rien à priori contre le matériel qu’ils utilisent et la qualité de leurs produits. Je n’aime pas l’hypocrisie dont ils font preuve ni le groupe de moutons qui les suivent pour leur bonne bouille (là je vais devoir m’excuser auprès de beaucoup de mes connaissances… :)). Personnellement, je retourne dans la bergerie Microso… Tiens, l’herbe a l’air plus verte dans la prairie Google.

Spi, infidèle.

PS : Allez, faites-moi changer d’avis 😉

Le Visiteur du Futur

Allez, je continue dans mon trip Web Séries avec le Visiteur du Futur.

Un gus débarque du futur façon John Connor sous perf de caféine et annonce une série de fins du monde.
J’aime bien l’idée que même si « on tue la culture »  en affaiblissant les majors, des petites séries d’amateurs continueront à me faire rire. 😉

Je vous laisse goûter au machin :

J’ai découvert cette série grâce à un cross over avec la Flanders Compagny.