Vendredi, j’étais à l’avant-première de Space Pirate : Captain Harlock que vous connaissez tous sous le nom de Albator : le corsaire de l’espace. Ca se passait au Grand Rex en présence de 2700 fans sur l’écran de 300 m² de la salle Grand Large. L’ambiance était excellente et le film n’était vraiment pas mal.
Synopsis :
Dans un futur lointain, la Terre est devenue une « planète interdite » pour les humains éparpillés dans l’Espace : la planète ne dispose pas d’assez de ressources pour héberger toute l’Humanité. Le commandant du vaisseau spatial Arcadia, le capitaine Albator, est un pirate de l’espace épris de liberté. Condamné à mort, il demeure insaisissable. Albator a choisi d’affronter la Coalition GAIA.
Le film est fidèle à la trame habituelle des Albator, mais l’histoire a su s’adapter à un public devenu adulte, désormais capable de supporter un héros plus sombre que jamais. L’animation est quant à elle assez fantastique pour un film qui n’a coûté « que » 30 millions de dollars (Monstres Academy en a coûté 200). C’est beau, bien mis en scène et on retrouve notre capitaine charismatique. L’oiseau rigolo est le seul vestige du côté humoristique de la série, mais on n’est plus là pour se marrer ! 🙂
Pour moi, c’est le résumé de toute une enfance qui tient dans ce film. Il n’est certes pas transcendant, mais reste très bien et saura séduire toute une génération de trentenaires nostalgiques. Je ne vous en dit pas plus, allez le voir, surtout qu’il passe encore au Rex cette semaine dans la grande salle (il a kické la Reine des neiges en salle 2 !).
Je vous invite à un petit récap’ (non exhaustif) en générique et bandes annonces :
Avec Titoque, samedi dernier, on s’est dit qu’on irait voir un film d’homme velu. Lui voulait voir Thor armé de son Mioumiou magique, et moi Le Hobbit (qui, et oui, a les pieds velus). Après avoir longuement négocié, nous nous sommes fiés à mon instinct qui disait de sa petite voix lugubre : « Emmène la dans la cave, et n’oublie pas ta pelle et les sucreries »… Quoique, attendez, c’est pas le bon instinct. C’était plutôt : « Allons voir un film qui nous plait à tous les deux, un Disney est une valeur sûre ! »
Sauf qu’une fois entrés dans la salle, de petits lutins sont venus s’installer tout autour de nous. Ce n’était pas Noël et ils n’avaient pas le regard bridé de ces petites personnes qui fabriquent nos cadeaux. En y regardant de plus près, c’était juste des mioches. C’est là que je fus pris d’une petite suée, amplifiée par la bande annonce de la Féé Clochette 18 : Gangbang dans le peuplier. Et si ce film était un agglomérat de scènes cucues avec des personnages mielleux ?
Le film commencé, je suis rassuré. Il s’agit d’une sorte de Raiponce. Ca chante, ça danse, c’est classique et fatalement cucu, mais ça se regarde. C’est au pire « très beau » et on notera la présence de Dany Boon dans le rôle du bonhomme de neige Olaf qui crève dans d’atroces souffrances à côté d’un poêle à mazoute (spoil ?).
Voilà, je voulais faire mon coming out : j’ai vu la Reine des Neige, j’ai honte… Mais Titoque aussi !
Une petite bande annonce peut-être ?
Les fans de 3D trouverons que la neige est très bien faite. 🙂
Ah, et le court metrage du début avec Mickey est excellent aussi, je vous le retrouverai.
Maintenant que le blog a son propre serveur, il est temps de faire mes sauvegardes moi-même comme un grand. Pour ça, une petite copie de fichiers par SSH me bottait bien. C’est très simple, sécurisé et de bon goût. Les barbus connaissent déjà et ça se trouve facile sur le Net, alors je vais rester concis et me contenter de mettre quelques liens.
Sauvegardons :
Si vous ne savez pas générer vos dumps de sauvegarde, sachez que vous pouvez – par exemple – créer des archives monolithiques contenant une arborescence de fichiers en tar.gz ou des dumps sql pour vos bases de données. Pour vous simplifier la vie, vous pouvez aussi utiliser des outils comme Ninja Backup (merci à Pierre pour la découverte).
Copions :
Pour copier vos sauvegardes facilement sur un NAS Synology via SSH et en indiquant un mot de passe, commencez par installer sshpass. Il permettra de spécifier un mot de passe avec scp, ce qui est impossible à automatiser avec scp seul .
# yum install sshpass
Habituellement, on vous dira que stocker le mot de passe c’est mal et qu’il vaut mieux utiliser un système de clé privée / clé publique, mais je ne bosse pas à la NSA, alors voici la belle ligne de commande à lancer sur le serveur source, combinant scp et sshpass :
Où nas.mondomaine.com est l’adresse de votre nas, backuper est le nom du compte créé sur le NAS et xxx est son mot de passe. Les options r et p précisent que la copie est récursive et préserve les dates des fichiers copiés. Bien sûr, vous pouvez planifier cette sauvegarde via crontab.
Créez un utilisateur avec des droits d’écriture sur le répertoire cible via l’interface web (voir capture plus bas).
En SSH, ouvrez le fichier /etc/passwd et modifiez la ligne de votre utilisateur : assurez-vous qu’elle se termine par : /bin/bash et non pas /sbin/nologin.
Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais google est maintenant le site web incontournable de ce siècle, sans doute loin devant Facebook. Au point que certains le confondent avec Internet. Voici une illustration des provenances des visites de ce blog : 96% des utilisateurs atterrissent ici après une recherche sur un moteur de recherche Google. Impressionnant, et pas très bon pour la diversité.
Qui d’entre vous n’a pas Google en page d’accueil sur son Chrome aujourd’hui ? 😉
Je crois que la dernière fois que j’ai parlé d’un film c’était Oblivion, une nième ôde à Tom Cruise. Ce qu’il peut être détestable ce garçon… Après avoir détruit l’équipe Mission : Impossible pour en devenir l’unique héros, il a continué de nous gaver avec Jack Reacher, le clodo solitaire et il va sans doute encore nous éclabousser de son aura pendant quelques années. Ajoutez à ça que c’est un demeuré scientologue et je pense qu’on a là un bon acteur dont les films nous apportent notre dose quotidienne en légume et navets (mangerbouger.com). Il vous reste un peu d’aura, là…
Mais bref, je m’égare déjà alors que je voulais vous causer des jeux de la faim 2. Humhum, Ce weekend, je suis donc allé voir la suite des Hunger Games ! Katniss Everdeen et Peeta Mellark étant sortis victorieux des 74èmes jeux, ils sont maintenant contraints de faire ce que l’on attend d’une dauphine de Miss France, à savoir se taper des buffets campagnards et aller se faire vomir dans un coin. Malheureusement, la vie n’est pas rose car Katniss qui incarne malgré elle l’espoir de jours meilleurs, attise un vent de rébellion au sein des districts et atterrit directement dans la ligne de mire du président Snow.
On m’avait dit que le deuxième tome serait mieux que le premier mais je n’y croyais pas vraiment. A l’évidence; c’était un tort car je n’ai pas vu passer les 2h30 de film. On accompagne volontiers Katniss à travers son calvaire émouvant et la pseudo histoire d’amour reste au second plan (haters de Twilight, tout va bien). Franchement, si vous avez aimé le premier, vous kifferez votre mémé avec le second, foncez ! Foncez, j’vous dit !
La bande annonce ne défleure pas trop l’histoire :
Je sais, je sais, j’avais dit que je n’y retournerai pas. Mais en fait, il faut bien avouer que l’idée d’une sortie entre amis et vague connaissance était tentante. Un très bon samedi s’est donc finalement offert à moi avec un match de foot, une pizza et une soirée jeux de société au cours de laquelle j’aurai fait preuve de la plus parfaite mauvaise foi.
A l’entrée du stade, j’ai enfin eu droit à mon pelotage de fesses lors de la fouille. Au vu de la procédure, il semblerait que le supporter ait plus tendance à planquer une bouteille de Kro dans son rectum qu’une machette dans son pantalon. Je tiens à préciser que, contrairement aux rumeurs qui ne manqueront pas d’être propagées dans les commentaires, non, je n’ai pas fait le queue pour une seconde fouille et non, je n’arborais pas un sourire béat.
J’ai appris que le match était moins cher car moins « palpitant » que Lens-Caen. Il s’agissait cette fois d’affronter Châteauroux et le moins que l’on puisse dire est que leurs supporters sont… disons concentrés.
Le match s’est conclu par un 2-0. J’en déduis qu’un but vaut 2€ sur mon billet. Bien entendu, je ne suis pas bonne personne pour parler mais c’était suffisamment distrayant pour que je ne voie pas les 90 minutes passer. On a appris que deux gros pontes se sont pointés en Mercedes dont un gros animateur de Canal + qu’on aura installé dans les gradins à l’aide d’un transpalette. Après recherche, la description correspond à un monsieur du nom de Pierre Ménès qui, manifestement ne pratique pas le sport qu’il commente.
Je voudrais enfin saluer Stéphane et Cher (les noms n’ont pas été changés, on ne les connaissait juste pas) qui nous ont expliqué que toute sortie était définitive. Cher, tu dois travailler ton relationnel.
Amis footeux, je n’irai pas juqu’à dire que j’ai maintenant de l’estime pour vous, mais je commence à comprendre un peu votre enthousiasme (c’est le mieux dont je suis capable, contentez-vous en).
Voilà, j’ai passé une première journée avec le Nexus 5 et bilan : c’est mon meilleur ami maintenant ! Comment c’est trop de la boulette de pouvoir enfin utiliser un téléphone performant !
Ok, j’ai l’air un peu accroc comme ça, mais vous ne savez pas ! Vous ne savez pas ce que c’est que de vivre avec un Nexus S tout rachitique auquel on a fait une mise à jour vers Android 4 et qui n’était pas du tout assez costaud pour le supporter… Ah ça, après l’upgrade il était vigoureux le pépère, mais il a vite décliné. Au point que je me suis résolu à désinstaller Facebook et Chrome, ne laissant que le minium vital… Et même là, ce petit goret trouvait encore le moyen de se montrer lent ! Bien qu’utilisable, je décidai donc de mettre fin à notre amitié de (p**ain) deux ans lorsque j’appris la sortie imminente de son grand frère, le Nexus 5.
Faut-il passer du Nexus S au 5 ?
Sans hésiter : oui ! Si vous accordez un tant soit peu d’importance au confort, oui ! De toute façon, vous utilisez votre téléphone tous les jours et vous devez déjà maugréer dans votre coin alors allez-y, faites-vous plaiz.
Faut-il passer du Nexus 4 au 5 ?
Je ne suis pas passé par la case Nexus 4 pour la bonne raison que « faut pas déconner non plus », mais je l’ai eu entre les mains et sincèrement, je ne pense pas que ça vaille le coup de changer. Je ne comprend même pas que des gens aient pondu des articles pour se poser la question. Gardez votre 4 les enfants, car en plus il passera sous Android 4.4 d’ici quelques semaines.
Un marketing par le buzz…
Il y a une chose qui m’a bien fait marrer, ce sont les « rumeurs » qui ont grouillé autour du nouveau smartphone de Google. Aujourd’hui, on sait très bien que les fuites, les apparitions éclaires sur des sites de vente et les photos volées font partie d’une politique visant à faire le buzz. Et pourtant, tous les journalistes s’étonnent à chaque fois. C’est pourtant une technique qui se retrouve en permanence depuis 10 ans et qui a fait ses preuves : Google n’a fait aucune publicité avant la sortie du Nexus 5 et pourtant tout le monde le voulait déjà. Facile, pas cher, efficace.
Ce qui m’a marqué lors du passage du S au 5
un écran beaucoup plus grand et fin,
un dos en plastique doux, effet daim,
une interface incroyablement plus fluide !
une meilleure intégration de Google Now, une meilleure compréhension du parlé (dommage qu’il n’y ait pas le déclenchement vocal permanent en français).
une batterie plus importante (2300 mA au lieu de 1500 mA)
une batterie intégrée cette fois, et ça c’est naze.
il est toujours impossible d’étendre la mémoire, ça aussi c’est bof.
pour une taille plus grande, le poids est assez proche,
la 4G, même si Free n’en a pas encore parlé,
les 2 ou 3 améliorations de la version4.4 qui ne cassent pas 3 pattes à un canard,
une batterie plus longue (mais aussi plus neuve, ça joue pas mal),
je n’ai pas eu de kitkat au déballage,
le haut-parleur, que j’ai tendance à boucher avec mes doigts sur le 5,
je concède à Apple que l’écran est un peu trop grand pour jouer du pouce à une main.
Dernière anecdote, la superette dans laquelle UPS a déposé le Nexus a su bien ménager le suspense quant à savoir s’ils l’avaient planqué dans la remise, au dessus du frigo, dans le derrière de la caissière ou s’il l’avait donné à une cliente Sarenza. On se serait cru à Pâques mais j’ai finalement récupéré le Précieux, ne comptez donc pas me parler avant plusieurs semaines.
Tout arrive. Après avoir charrié Jefflec sur le foot pendant des années, il a décidé de nous traîner voir un match au Stade Bollaert pour que nous comprenions enfin ce qui anime le supporter. Bilan mitigé.
C’est une découverte pour moi. J’ai déjà regardé quelques matchs, notamment en 1998 lorsque « nous » avons gagné la coupe du monde, mais je n’ai jamais accroché et encore moins mis les pieds dans un stade. Il faut dire que j’en avais des aprioris. Pour moi, c’est le sport de beauf par excellence. J’avais même peur d’être recalé à l’entrée s’ils découvraient que j’avais mon brevet des collèges. Mais justement, le but ici était de me faire une vraie idée ! Alors passons à la pratique, c’est mon Man Vs. Wild à moi !
Nous partons avant 13h pour Lens, direction le Stade ! On se gare dans le centre, Bollaert n’est pas très loin mais je comprends pourquoi Jeff a chaussé ses grolles de randos : le chemin est marécageux avec la fine pluie qui tombe. Lorsqu’on arrive sur site, on croise la baraque à frites « Chez Momo »… Depuis Bienvenue chez les Ch’tis, toutes les baraques à frites s’appellent comme ça. L’odeur de frites vinaigrées sera omniprésente pendant 2h, pas désagréable si ce n’est que j’ai faim. On s’approche et alors que je m’attendais à voir 3 pelés, il y a foule. On passe les premiers contrôles de façon fluide, puis vient la palpation. Tout le monde se fait tripoter : L. avec sa tête d’innocente se fait toujours fouiller de fond en comble, quant à moi avec ma face de taliban, je réalise que je fais la queue devant un mec pour me faire peloter sans même qu’il m’ait invité au restaurant et dans un éclair de lucidité, je le contourne innocemment. J’ai évité que mon intégrité soit compromise : la victoire est mienne. Jeff revient en boitant, mais ils n’ont pas trouvé son couteau suisse, bien trop profondément enfoui.
Le stade est à la fois immense et tassé, c’est un grand édifice bétonné dont la finition finement ciselée n’est pas sans rappeler celle d’un bunker de la seconde guerre mondiale. Jeff nous assure que nous avons des places de pauvres-riches, ce qui est bien, il paraît. Nous escaladons le bloc de béton et nous installons sur des pauvres strapontins en plastiques. Afin d’éviter de se foutre sur la tronche avant même que le match ne commence, les sièges sont numérotés. A mon grand étonnement, le stade est rempli au 3/4, nous sommes plus de 30 000 dans les tribunes.
Peu avant le départ, le public entonne la Marseillaise alors que des joueurs d’équipe nationale ne la chantent pas ; c’est beau ! Puis à 14h pile, le match commence. Un match animé puisque Lens colle deux buts humiliants à Caen avant de se faire expulser un joueur par carton. On ne saura jamais la raison de ce carton. Il n’y a pas de vidéo sur le terrain, et il n’y a pas d’arbitre vidéo. Jeff me dit que c’est un débat. Je lui répond qu’il n’y a pas de débat si la technologie peut aider à la justice. Pendant que des petits lutins blancs et rouges courent sur le gazon vert, les supporters du Racing-Club de Lens affirment leur présence et écrasent les 15 pékins qui soutiennent Caen. Le stade est vivant, il chante d’une seule voix. Le footeux est très émotif et réagit au moindre toucher de balle.
Pendant la mi-temps, c’est l’occasion de petits jeux avec des gamins (on s’amuse souvent avec les enfants dans le Nord). Le public de Lens chante le refrain des Corons de Pierre Bachelet. C’est émouvant et ça me rappelle encore une fois Bienvenue chez les Ch’tis qui est, soit dit en passant, le seul film qui donne envie d’aller se perdre dans le Nord. 15 minutes après, le match reprend, les équipes changent de côté. Oui, je me doute que vous savez tous ça. ^^
Caen remonte au score 2-1. J’applaudis ce but mais on me dit qu’il ne faut pas. Jeff insinue que les joueurs de Ligue 2 sont payés plus que moi. Qu’ils soient payés m’étonne déjà, qu’ils touchent le RSA encore plus. Je découvre l’anti-jeu et pourquoi les clubs qui jouent à domicile sont avantagés. La fin approche, Lens l’emporte ! C’est la fête, les joueurs viennent saluer le public. Enfin, les esprits se refroidissent et tout le monde retourne calmement vaquer à ses occupations. Une famille sang et or remonte dans son Espace et s’éloigne. Nous, nous remonterons le courant pour aller visiter le Louvre Lens.
Alors, verdict ? Ben… J’ai toujours du mal à adhérer, mais je comprends qu’on puisse se sentir emporté par l’ambiance. Le public de Lens est fidèle et motivé alors que le match est anecdotique et que personne ne s’en souviendra. Enfin, personne sauf moi, car c’était mon match de foot à moi que j’ai vu. 🙂
Edittion : Résumé du match
Merci à Jefflec pour la vidéo. 🙂
L’Office du tourisme du Nord-Pas-de-Calais vous propose cette vidéo promotionnelle :
Ember est un film sorti dans les salles en 2008 et je trouve qu’il n’a pas eu l’accueil qu’il mérite vu que peu d’entre vous savent même qu’il existe, alors je vais essayer de vous titiller un peu la curiosité. Pour commencer, voici un peti synopsis que vous pourrez compléter avec la fiche Allociné :
Alors que le monde est sur le point de disparaître, la cité d’Ember est construite, cachée sous terre afin de préserver une fraction de l’Humanité. Quelques centaines de personnes y vivront le temps que l’extérieur redevienne vivable et pendant 250 ans, plusieurs générations mèneront une vie de reclus. Le savoir se perdant et la population s’enfonçant dans l’habitude, tous finiront par oublier l’objectif de leur isolement et seuls deux enfants se rendront compte que leur refuge se dégrade inéluctablement, mettant en péril leur subsistance.
La Cité de l’ombre est une uchronie dans laquelle le monde s’arrête dans les années 60 avec la technologie de l’époque, ce qui donne une ambiance particulière à la ville. C’est un univers aux couleurs de Jeunet par ses éclairages, un peu Steam Punk aussi, et il n’est pas sans rappeler aux joueurs Bioshock Infinite ou Portal 2. Le ton est léger, limite comique, le film se regarde bien. Pour moi, il est une critique de l’immobilisme et des gens qui s’enfoncent dans la routine sans penser à ce qui se passe à l’extérieur.
Bref, voyez le, et revenez me donner votre avis ici si vous voulez. 😉
Nous utilisons des cookies pour vous procurer la meilleure expérience de navigation en gardant en mémoire vos préférences lors de vos visites récurrentes. En cliquant sur “Tout accepter”, vous consentez à utiliser TOUS les cookies. Cependant, vous pouvez visiter les "paramètres des cookies" pour contrôler les cookies utilisés.
This website uses cookies to improve your experience while you navigate through the website. Out of these, the cookies that are categorized as necessary are stored on your browser as they are essential for the working of basic functionalities of the website. We also use third-party cookies that help us analyze and understand how you use this website. These cookies will be stored in your browser only with your consent. You also have the option to opt-out of these cookies. But opting out of some of these cookies may affect your browsing experience.
Necessary cookies are absolutely essential for the website to function properly. These cookies ensure basic functionalities and security features of the website, anonymously.
Cookie
Durée
Description
cookielawinfo-checkbox-analytics
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Analytics".
cookielawinfo-checkbox-functional
11 months
The cookie is set by GDPR cookie consent to record the user consent for the cookies in the category "Functional".
cookielawinfo-checkbox-necessary
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookies is used to store the user consent for the cookies in the category "Necessary".
cookielawinfo-checkbox-others
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Other.
cookielawinfo-checkbox-performance
11 months
This cookie is set by GDPR Cookie Consent plugin. The cookie is used to store the user consent for the cookies in the category "Performance".
viewed_cookie_policy
11 months
The cookie is set by the GDPR Cookie Consent plugin and is used to store whether or not user has consented to the use of cookies. It does not store any personal data.
Functional cookies help to perform certain functionalities like sharing the content of the website on social media platforms, collect feedbacks, and other third-party features.
Performance cookies are used to understand and analyze the key performance indexes of the website which helps in delivering a better user experience for the visitors.
Analytical cookies are used to understand how visitors interact with the website. These cookies help provide information on metrics the number of visitors, bounce rate, traffic source, etc.
Advertisement cookies are used to provide visitors with relevant ads and marketing campaigns. These cookies track visitors across websites and collect information to provide customized ads.