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Exposition : les dessins du studio Ghibli

Bonjour les amis ! Ce weekend nous avons fait un saut à Paris et visité l’exposition « Les dessins du studio Ghibli » chez Art Ludique.

C’est agréable de voir qu’un genre dédaigné il y a 10 ans* est aujourd’hui exposé dans la capitale. Les dessins animés japonais ont longtemps eu mauvaise presse en France car réduits à la violence. Pourtant, comme parmi les films français, le panel de genre est très large et ne se limite pas à Ken le survivant. Il était vraiment temps qu’en France on nous fasse découvrir les maîtres de l’animation japonaise. Cette expo tombe donc à pic. Voici les souvenirs que je garderai :

1. J’y pense puis jibli.

Logo GhiblyCa fait plus de 15 ans que je parle du studio en faisant l’apologie de ses films d’animation et aujourd’hui, j’apprends que ça se prononce « jibli ». Nan mais zut quoi, pourquoi personne ne m’a jamais corrigé…? C’est un peu comme quand tout le monde prononçait « Metal Gear » « métal gire » : v’là un truc qui doit bien faire marrer les japonais.

2. Bimbo ça veut dire « petit »

Contre toute attente, Mimie Mathy est une bimbo au japon. Bah, Mireille Mathieu est bien une chanteuse en Russie.

3. Une expo intéressante

Hayao Miyazaki
Hayao Miyazaki

Bien sûr, si vous n’aimez pas Ghibli, ce paragraphe vous sera aussi utile qu’un cure dent à une poule, passez alors votre chemin. Mais si vous êtes fan, pensez  à venir avant la cohue de l’après midi. Des gens ont dû attendre 1 à 2 heures à l’extérieur vers 15h alors qu’à 13h on a patienté 5 minutes.

L’exposition en elle-même est super intéressante pour qui s’intéresse un peu aux techniques d’animation. On vous explique le processus de création démarrant dans la tête de Miyazaki jusqu’à votre cinéma et on se focalise surtout sur les layouts**, ces dessins réalisés entre le storyboard (qui campe l’histoire globale) et l’animation. Il y en a des centaines exposées, c’est impressionnant. Et puis c’est vraiment sympa de voir les croquis des dessins animés qu’on a adorés, d’autant que plusieurs sont signés par Miyazaki himself. 😉

Lors de votre visite, armé de votre audio-guide, vous passerez à travers les salles dédiées aux différentes oeuvres du studio (y compris la dernière : Souvenirs de Marnie) et vous savourerez les petites anecdotes. L’air de rien, votre balade pourra durer deux heures avant de se finir par une bonne surprise (mais pas de spoil 😉 ) et une boutique très chère et un peu décevante.

Quelques oeuvres de Ghibly

4. Etude de la défécation d’un parasite sociétal

Pendant ma trépidante vie, j’ai eu des questions existentielles à me poser comme : mais où donc les SDF font-ils leurs besoins ? Dimanche j’ai eu la réponse et c’est un peu comme les tours de magie : quand on connaît la vérité, l’enchantement disparaît, ça gâche tout. Ainsi, j’aurai dans ma tête pendant le restant de ma vie, l’image de ce SDF en train de démouler un cake entre deux voitures, le cigare aux lèvres. Et comme il n’y a pas de raison pour que je sois le seul trauma, je vous laisse avec cette image mentale pour l’après midi. Bisous.


 Notes :

  • * : Le Château dans le ciel est sorti au Japon en 1986 et en France en… 2003.
  • ** : L’illustration de cet article est d’ailleurs un layout du Voyage de Chihiro.

A lire aussi :

Avengers : L’Ere d’Ultron (Age of Ultron) – bande annonce VO/VF !

Sortie un peu précipitée de la bande annonce de Avengers : Age of Ultron qui devait être annoncée mardi prochain. Une fuite assumée par Marvel qui tweet : « Dammit, Hydra. »

Holala, comment ça va dépoter du yuka !!! Maintenant, reste à ne pas s’auto spoiler. Ne me parlez pas, chut, tût tût tût !

Sortie française le 29 avril 2015.

Version française : 

Version originale :

Merci à Rak pour sa vigilance. 🙂

Je n’ai rien à cacher, je suis pour la surveillance massive !

Combien de fois j’ai pu entendre cette réflexion simpliste. Pour contrer cet argument tout pourri, je vous propose une petite vidéo qui vous expliquera pourquoi plutôt que d’étouffer doucement la liberté de pensée et d’expression, il n’est pas une mauvaise idée de rappeler à quel point elle est vitale dans une démocratie.

Selon Glenn Greenwald, nous avons forcément tous quelque chose qu’on ne veut pas que les autres découvrent (notre troisième téton, notre maîtresse cachée, notre sex tape houleuse, nos rêves syndicaux, mon plan pour conquérir le monde…). Affirmer qu’on a rien à cacher, c’est se leurrer et se forcer à une conduite parfaitement conformiste pour rester cohérent.

La surveillance des masses a deux effets pervers selon Glenn :

  • Elle fait croire que seules les mauvaises personnes ont des choses à cacher (terroristes, pédophiles, etc.). C’est bien sûr faux, il y a tout un tas de raisons pour ne pas vouloir être épié en permanence.
  • La pression de la surveillance modifie les comportements pour nous rendre plus conformistes, obéissants, soumis et limite l’activisme. Du pain béni pour un régime dictatorial(1).

Quelques citations édifiantes avant de vous laisser regarder la vidéo :

Question à Eric Schmidt, PdG de Google(3) :
– Les gens voient Google comme leur confident. Ils devraient ?
– Si vous faites quelque chose que vous ne voulez pas que les autres sachent, peut-être auriez-vous dû commencer par ne pas le faire.

La surveillance massive crée une prison de l’esprit plus efficace que la force brute ne pourrait jamais l’être.

Glenn Greenwald

Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux.

Benjamin Franklin

Vous savez, Jennifer Lawrence aussi n’avait rien à cacher. Ben effectivement, elle ne cachait pas grand chose, la coquine !

Spi.

Si vous êtes anglophone, laissez-vous convaincre par l’intervention de Glenn(2).

Edit : vous pouvez aussi regarder une autre vidéo de 20 minutes, en français cette fois. Elle est publiée dans les commentaires de cet article par Dju.

Alors, convaincus ? 😉

A voir :

  1. 1984
  2. Glenn Greenwald nous explique pourquoi la vie privée, c’est important (vidéo de 20 minutes en anglais)
  3. – People are treating Google like their most trusted friend. Should they be?
    – I think judgment matters. If you have something that you don’t want anyone to know, maybe you shouldn’t be doing it in the first place.
  4. Le site de la Quadrature du Net

Sans lendemain, ou l’avenir pessimiste dû à l’épuisement des ressources

Incubate picture nous propose de faire un topo sur notre consommation des énergies sur notre bonne vieille Terre. Il y a beaucoup de documentaires sur le sujet, mais celui-ci est très bien expliqué et à la portée de tous. Promis, on ne vous fera pas culpabiliser, mais attendez-vous à un bon gros fatalisme pour les enfants de la génération à venir.

Il est amusant de lire les commentaires : la plupart disent que les gens sont des cons égoïstes, mais pas eux. On se fâche, on s’indigne, mais on sait bien que le changement envisagé par la vidéo est trop radical pour qu’on puisse y faire quelque chose. Il faut sans doute juste attendre l’effondrement de l’économie. Au moins, ça va mettre de l’animation, car ce qu’oublie la vidéo, c’est qu’avant d’arriver à un mode de vie plus simple, on va se battre pour conserver l’actuel. Call of Duty en vrai dans ta rue, c’est pour dans 30 ans. Allez, on en reparle. 😉

Sources du documentaire disponibles ici : Incubate Pictures / There is no tomorrow / Resources.

J’avais bien raison de ne pas trier ! 😉

Le Petit Quinquin (série TV). Euh, non merci…

Jeudi soir, j’ai regardé le Petit Quinquin, une petite série télévisée diffusée sur Arte qui a la particularité de se dérouler dans le Nôôôrd (le boulonnais pour être précis). Elle met en scène une passionnante enquête qui vous emmènera à travers fermes et bunkers. Une belle occasion de surfer (encore) sur la vague de Bienvenue chez les Ch’tis qui n’est, au final, pas vraiment convaincante.

Avant d’écrire ce petit bout d’article je suis allé me renseigner sur le Net afin de savoir s’il ne s’agissait pas d’une série jouée uniquement par des handicapés. Je n’ai rien contre, et venant d’Arte, ç’aurait bien été possible vu leur goût pour les petites productions originales (Real Humans). Mais non, ce sont des gens normaux. Pourquoi alors, ai-je l’impression d’être face au best of de Strip-tease !?

L’épisode commence avec la célébration du 14 juillet. Première constatation : la série est lente, très lente. Jack Bauer aurait déjà tué toute la fanfare municipale avant la dernière note de la marseillaise. Au milieu de la cérémonie, une sorte d’Einstein apparaît à bord d’une voiture de la gendarmerie, je découvre qu’il s’agit d’un commandant. On voit tout de suite qu’il a un problème. Bourré de tics, avec son acolyte aux faux airs de violeurs d’enfants, on dirait Dupond et Dupont en fin de vie.

Ga !
Les gens du Nord ont dans le cœur le soleil qu’ils n’ont pas dehors.

La série avance et je remarque que presque personne ne marche droit. On dirait un ballet de zombies alcoolisés. Je découvre que le héros, c’est un gamin appelé le petit Quinquin…  Et là comme c’est une petite série, je me dis qu’il a des vrais parents qui pourraient tomber sur cet article. Alors je ne vais pas faire de commentaire sur son aspect disgracieux. Mais quand même, qu’est-ce que c’est que ce héros qui joue mal et ressemble à un petit cochon ?

L’impression d’une web série amateur est forte. Ça sent l’innocence et la bouse (au sens propre aussi), les acteurs sont… aussi bons que moi, on dira. A un moment, une journaliste intriguée par un meurtre dans une fosse à purin (moi aussi ça m’intriguerait) interpelle le commissaire avec un sur-jeu tellement affreux qu’une colonie de vache se jette sur elle pour la finir.

Et encore, vous n’avez pas vu la tête des gens qui ont clairement passé un casting « orienté ». Après ça, on ne s’étonnera plus de s’entendre dire : « Vous avez des têtes de roumains dans le Nord ». Et je ne vous parle même pas des majorettes qui ne diffèrent des chevaux que parce qu’elles ne font pas en défilant (ou alors elles ont des petits sacs à crottin bien dissimulés).

Bref, un ovni. Il parait que c’est plein d’humour, mais moi ça me rappelle peut-être trop des gens que j’ai rencontrés (comme les Deschiens). Alors non, j’accroche pas. Mais donnez lui au moins une chance de vous convaincre. Puis revenez vous plaindre ici. 🙂

Ma note : Sûrement pas / 5.

Quand les sous-titreurs se/nous font plaisir

Comme vous ne piratez jamais pour ne pas faire pleurer Pascal Nègre, vous ne saviez probablement pas que lorsqu’un film ou une série sort aux Etat-Unis, une horde de subbers se rue dessus pour le souiller de sous-titres à la grammaire approximative et le mettre à gracieusement disposition des francophones. Voilà qui est réparé, bienvenue à bord moussaillon !

C’est fort sympathique de leur part, seulement certains d’entre eux parlent l’anglais comme des sèches thaïlandaises (marre de la vache espagnole) et se livrent à une course au sous-titrage qui nuit un peu à la pertinence du mot. Par exemple, dites-vous que le texte original de la capture ci-contre est : « Embark one of these ships », soit « Embarquez à bord d’un de ces bateaux ». Et non pas « Embarquez l’un de ces moutons »…

Allez, un dernier avant de vous envoyer sur leur site :

"You known nothing John Snow."
« You known nothing John Snow. »

Je vous laisse visiter les sous-titres de la honte.

La scène de fin de Star Wars sans la musique. #Embarassant #Laul

Je sais, je sais. J’ai déjà posté cette vidéo sur face de bouc mais vous savez comme les infos de ce truc sont éphémères et je veux l’immortaliser. Pour ceux qui ne me suivent pas sur FB (les idiots 😉 ), voici la scène de fin de StarWars : un nouvel espoir (épisode 4) par Auralnauts sans la musique. C’est tellement… particulier… J’en glousse encore. 😀

Star Wars Minus Williams – Throne Room :

 

Madère 2014 (photos et compte rendu)

Bonjour à tous !

Il est maintenant de coutume d’exhiber sa vie sur les réseaux sociaux au moindre événement mais comme je m’y refuse catégoriquement, c’est sur le blog que je vais vous étaler mon bonheur au visage. 😉

Cet été, nous avons eu l’opportunité de visiter l’île de Madère, pays du vin, de la sauce et de Jean-Pierre. Même si nous ne sommes pas parvenus à mettre la main sur les deux derniers, nous avons passé de superbes vacances. Du coup, je vais vous en faire un peu la promo. 🙂

Tour d’horizon

Pour rejoindre Madère, il existe des vols directs depuis Bruxelles et Paris. Comme toujours, s’y prendre tôt et hors période permet d’avoir des prix bien plus abordables. Pour vous déplacer une fois sur place, c’est facile ! Depuis quelques années, Madère se fait percer de tunnels qui accélèrent grandement les déplacement et dispose même d’une voie rapide. Par contre, quelle que soit la route, faites un vœu quand vous passez la 5ème, ça n’arrivera pas si souvent (vous pouvez aussi en faire à chaque précipice). Si vous venez par vous-même, pensez à louer une voiture à l’aéroport. Même si le réseau de bus est dense, c’est assez pénible et les arrêts peuvent être loins des départs de randonnées. Pas d’inquiétude, les routes sont parfois impressionnantes mais aussi bien sécurisées.

Levada de Queimadas
Randonnée le long d’une levada au départ de Queimadas.

Les précipitations et la fertilité des sols rendent la végétation luxuriante (sauf sur la pointe est) et il suffit parfois de tendre la main pour se nourrir. La température oscille toute l’année entre 20 et 25°C, ce qui est idéal pour les touristes, la végétation et moi.

Le centre de l’île est montagneux et culmine à 1862m. Les côtes sont très escarpées et constituées essentiellement de falaises. Peu de plages donc, mais quelques zones artificielles aménagées entre les rochers. Les fans de cuisson au soleil sur des plages de sable fin n’apprécieront pas forcément le coin, même si l’île voisine de Porto Santo dispose d’une vraie plage. Ce sont plutôt les randonneurs qui seront ravis de pouvoir arpenter les magnifiques paysages.

Parlons-en des randos. Les Madèriens ont développé un système d’irrigation amenant l’eau du versant Nord (plus exposé aux précipitations) vers le sud. Ce maillage de petits ruisseaux (les levadas) est aujourd’hui une aubaine pour le randonneur qui pourra les longer jusqu’à leurs sources sur plusieurs kilomètres. L’Office du tourisme propose un guide indispensable d’une vingtaine de randonnées fléchées. A chaque sortie, il sera bon d’emporter des vraies godasses, de l’eau, une lampe torche, un téléphone portable, et de laisser son vertige au vestiaire. La randonnée de Queimadas est magnifique, mais il n’est pas indiqué que ceux qui ont le vertige devraient emporter des sous-vêtements propres. Rien de vous oblige à aller jusqu’au bout si vous ne le sentez pas (à part la peur de passer pour une lopette). 🙂

Sabre avec de la banane, des amandes pilées et du fruit de la passion.
Le sabre.

Question nourriture, ne manquez pas de goûter à l’espetada : de la viande cuite au feu de bois sur des branches de laurier avec du sel. Divin avec ses patates douces et assez folklo à manger sans couverts. 😀 Nous avions aussi particulièrement apprécié le spade (sabre) à la banane, aux amandes pillées et au jus de maracuja (fruit de la passion).  En dehors des zones touristiques, les prix sont assez bas au vu de la quantité servie.

Côté visites, ne manquez pas :

  • les randos, ce serait dommage de vous en priver tellement c’est zoli.
  • Cabo Girão et sa plateforme en verre à près de 600m  du sol.
  • Funchal, la « capitale » de l’île qui abrite un peu d’histoire (et d’excellentes glaces au pied du téléphérique).
  • le tour de l’île, pour les paysages et le côté karting en voiture.
  • Las grutas de Sao Vicente : des tunnels de lave et l’histoire de la création de Madère.
Randonnée dans le ciel. :)
Randonnée dans le ciel. 🙂

Les locaux sont accueillants et ne se prennent pas la tête. parfois ils se garent un peu n’importe où mais même un bon parisien finit par leur pardonner. 🙂 Le français est une langue un peu annexe, les présentations touristiques sont souvent en anglais et portugais. Si vous comptez sur un guide pour vous aider à parler portugais comme Jeff, sachez que son « Voulez-vous venir avec moi à la gare routière » ne nous a pas servi.
Les touristes sont surtout présents autour de Funchal. Étonnamment, nous avons croisé beaucoup de français sur les randonnées. Ca doit être un kiff de chez nous.

Madère c’est tout petit, ça représente 1/10ème de la Corse et on en fait le tour en une journée. 2 semaines devraient suffire à visiter une bonne partie.

Je vous ai fait un petit diaporama (à regarder en HD si votre connexion le permet). Vous m’excuserez, mais trouver des musiques libres de droit pas trop moches n’a pas été facile. 😉

En espérant que ça vous donnera envie. 🙂

L’écoquartier du Raquet à Sin-le-Noble laisse rêveur.

C’est l’été, l’occasion de sortir un bon article façon J.P. Pernaut pour nous rafraîchir entre deux guerres et crashs d’avions. Causons donc de l’écoquartier de Sin-le-Noble. 🙂

Le tram et la gestion désastreuse de la ville de Douai ont monopolisé les esprits ces dernières années. Tant et si bien qu’ils ont éclipsé une initiative sympathoche qui commence à sortir de terre : l’écoquartier du Raquet à Sin-Le-Noble. L’idée est pourtant très intéressante car elle met l’accent sur le social et l’écologie pour créer un quartier où il fera bon vivre (sur le papier tout au moins).

Le Raquet ce sera :

  • 12 000 habitants,
  • 25% de logements sociaux afin de favoriser la mixité sociale,
  • un centre aquatique (voir la vidéo plus bas),
  • 4 parcs (horticole, forestier, urbain, actif pour les sports et jeux),
  • une gestion des eaux pluviales par infiltration (fossés, canaux…),
  • la priorité aux piétons, cycliste et au futur BHNS,
  • une architecture à haut qualité environnementale (meilleure gestion des consommations, énergie renouvelable solaire et éolienne, chauffage au bois et autre biomasse…),
  • des bâtiments variés,
  • des infrastructures pour faire vivre le quartier (écoles, services, salles de sport, etc.)
  • des logements allant de 150 000 à 300 000 € avec pour certains une aide à l’accession

J’ai envie de voir comment le quartier prend forme car ça pourrait être une petite révolution dans les mœurs et la façon de vivre. Ce trip écolo hippie est une avancée concrète qui permet d’allier confort et respect de l’environnement et ça me botte. Espérons que si le quartier s’en sort bien le modèle se répandra.

Mais l’écoquartier n’est pas juste un truc écolo, il se veut aussi un facteur de rapprochement social puisqu’outre un quart de logements sociaux, il comportera des aménagements sportifs, des commerces, des services, etc. Espérons que cette ville dans la ville vivra et attirera du monde. Pour ça, on pourra notamment compter sur le nouveau centre aquatique qui sera attendu avec impatience par quiconque verra la vidéo plus bas. 😉

Ces champs sont en train d'être remplacés par une ville "écologique".
Ces champs sont en train d’être remplacés par une ville « écologique ».

Voilà une petite animation de ce que ça devrait donner à terme :

https://www.youtube.com/watch?v=DhtK0gQsvR0

Et voici plus particulièrement le futur centre aquatique du Raquet qui devrait s’ouvrir en 2016 :

Si vous avez d’autres infos, je suis preneur. 🙂