Hello les gens. Je voulais juste vous faire part de mon désespoir. L’Humanité essaye de s’élever péniblement au delà du seuil d’animal nuisible, mais ça n’empêche pas quelques petits ratés de temps à autres. Et là, avec la sortie de « Innocence of Muslims », on a trébuché. Rarement un film aussi mauvais n’a fait autant parler de lui. Le réalisateur pourrait être fier d’autant de presse, si des milliers de gus n’avaient pas juré sa mort.
Pourtant, ce truc est plus affreux qu’une série AB Production. C’est une espèce de mauvaise comédie à 5 millions de balles ridiculisant le prophète Mahommet. C’est bien provocateur et ça devait forcément provoquer un petit remue-ménage.
Ce qui est amusant, c’est que ce film sorti en juin sert de prétexte pour des attentats ce 11 septembre 2012. De là à penser que le fantôme d’Oussama est dans le coup, il n’y a qu’un pas que je franchis.
Force est de constater que rallier des demeurés autour d’une grande cause est une politique qui fonctionne. On l’a vu maintes fois à travers l’histoire et récemment avec la manipulation des ricains et la guerre en Irak, ou avec celle des musulmans et les manifestations anti-US. Heureusement, il ne faut pas mettre tout le monde dans le même sac, mais ceux dont on entend parler sont quand même sacrément cons. Utiliser la religion qui est censés prôner un message de paix pour canaliser la haine des gens, c’est détestable. C’est aussi de l’abus de faiblesse.
Et pire, maintenant que l’ambassadeur est mort, qui va organiser les soirées ? Où est-ce que je vais baffrer mes Ferreros moi maintenant ?
Je ne suis pas peu fier de mon premier article sur l’art culinaire. Une recette à la portée de tous archivée depuis le blog de Titoque :
Bonjour à tous, Titoque m’a demandé de vous distraire pendant que môssieur est en train de faire le plein de terroir, de recettes, de soleil et de kilos dans le sud. Me voici donc, je m’appelle Spi et je vais déployer tout mon savoir culinaire dans cet article.
Je vous propose aujourd’hui : la tartine de Nutella ! Personnellement, j’évite la pâte à tartiner et les M&M’s car j’ai une petite addiction à ces trucs. Mais pour des gens normaux et équilibrés comme vous, ça devrait aller. Voici donc ma recette :
300g de pain en tranche,
Un pot de Nutella familial de 7Kg,
Un couteau.
Ouvrez le couvercle du pot de Nutella et enlevez l’opercule. Plongez votre couteau dans le Nutella fondant, salivez un peu et sortez le. Il doit être nappé du précieux chocolat. Enduisez généreusement la tartine jusqu’à ce que vous ne voyez plus le pain. Dégustez.
Voilà, félicitation, vous avez du cholestérol ! La prochaine fois, je vous parlerai du plat micro-ondable. Mais je ne vous en dit pas plus, conservons le suspense ! A bientôt ! Spi.
Bon, alors depuis, j’ai appris que Nutella tue des p’tits singes. Pas que j’ai suffisamment d’empathie pour arrêter d’en manger, mais vous, vous pouvez peut-être rendre le monde meilleur. 😉
Bon, ça y’est, j’ai bien fantasmé avec la V6, mais il faut bien se rendre à l’évidence, c’est du caca de fennec.
Free ce n’est ni Apple qui sort des produits au hard soigné mais cher, ni Google dont les bêtas sont déjà béton. C’est plus l’Ikea de la box multimédia. Oh, je n’ai rien à dire sur le modem en lui-même, mais le player épuise ma patience.
Au début, je me suis dit que ça finirait par marcher car Free a l’habitude de sortir des trucs pas finis, mais non, pas là. Ce truc bas de gamme dans un emballage de luxe a toujours tendance à mal lire les Blu Ray et à les abîmer avec son mange disque en carton. Et puis si on ajoute cette plaisanterie de télécommande / souris, on atteint le summum du ridicule.
Le player n’est pas la spécialité de Free. Ils le font mal. Je n’ai pas plus d’espoir pour les autres fournisseurs d’accès alors cette fois c’est décidé. La box me servira uniquement de player UPnP (ce que le RaspBerry Pi fait déjà, mais bon) et je vais utiliser celui de mon PC.
Enfin, j’aimerais bien car je n’ai pas de lecteur logiciel. Et bien vous savez quoi ? Je vais peut être télécharger les versions HD piratées des DVD que j’ai achetés. Ce sera plus simple.
Attendez, non, j’ai mieux. Suivez les indications de cette page et lisez votre BluRay sur VLC. Après tout, j’ai un lecteur matèriel free donc toutes les licences pour le player, j’ai acheté le Blu Ray donc je suis dans la légalité.
Chers membres du Bluray consortium (Apple Inc., Dell Inc., Hewlett-Packard, Hitachi, Ltd., Intel Corporation, LG Electronics, Mitsubishi Electric, Panasonic Corporation, Pioneer Corporation, Royal Philips Electronics, Samsung Electronics, Sharp Corporation, Sony Corporation, Sun Microsystems, TDK Corporation, Technicolor SA, 20th Century Fox, Walt Disney Motion Pictures Group, Warner Bros. Entertainment), je vous conchie. Pourquoi regarder un film est-il toujours plus difficile à chaque nouveau média ?
Pof, une soirée film à l’eau.
Edition du 16/09/2012 : J’ai reçu mon lecteur Blu Ray cette après midi. C’est un Sony BDP-S185 (69€) tout simple qui lit les Blu Ray (ça m’arrange) mais pas ceux en 3D (m’en fout). Et bien, figurez-vous que ô miracle, le lecteur a été capable de lire Hulk entièrement sans saccader. Voilà qui confirme que ma freebox a vraiment un problème avec les Blu Ray après 30 minutes de lecture…
Titoque nous a rejoint en tant que rédacteur / chef cuistot. Mais finalement, devant l’ampleur des articles qu’il promettait de poster, il fallait soit freiner son ardeur soit lui laisser un espace dédié. Nous avons choisi de ne pas brider sa créativité en optant pour la seconde solution et c’est sur un nouveau blog fraîchement achalandé qu’il accueille gourmands et gourmets (***).
Je ruine régulièrement mes écouteurs et il y a quelques mois, j’ai fait l’acquisition d’une paire d’écouteurs Bose IE2. Ils succèdent aux Koss The Plug, Senheiser CX300 et aux Klipsch Image S4. Tous sont décédés sous mes yeux à cause d’un fil effiloché dans la gaine trop fine. Alors là, moi je dis halte aux cheveux cassants et aux pointes sèches !
Il était donc temps de penser à des écouteurs prévus pour affronter la jungle urbaine. Les IE2 sont de cette trempe et j’ai pu les tester sur une petite quantité de musiques respectable. Mais rappelez-vous que je ne suis pas un pro du son et qu’il y a des gus bien mieux placés pour donner un avis technique. Je suis le prince du subjectif.
Ces écouteurs ont des qualités certaines :
Le son me semble encore meilleur que le Klipsch Image S4 qui possède pourtant 2 drivers. On découvre encore de nouveaux sons 🙂
Les embouts StayHear sont parfaits pour faire du sport sans risquer de perdre une oreillette.
L’absence d’isolation phonique le rend plutôt bon pour se balader tout en entendant le camion qui arrive sur vous.
Sentiment de solidité, fils épais.
Très confortables.
Et des défauts aussi :
Le son est ressenti différemment en fonction de l’oreille. Certains disent que le son est très « Bose » (comprendre avec des grave omniprésentes), mais il me semble bien étalé. Lorsque l’embout s’enfonce trop dans l’oreille, je pense que les graves doivent prendre le dessus. Difficile de savoir comment il va sonner dans votre oreillle sans l’essayer.
Les basses n’atteignent toujours pas celles d’un Koss The Plug.
Ce ne sont pas des intra-auriculaires : le bruit extérieur est très présent. De fait, le rendu est assez moche dans une rue passante.
Les fils ont une durée de vie de moins de 2 ans en usage quotidien.
Au final, je leur trouve un son vraiment sympa, même si les graves dont je suis friand ne sont pas si présentes qu’annoncé (fonction de la morphologie de l’oreille sûrement). Pour moi il est dur de retrouver un casque qui n’isole pas : demandez-vous si c’est ce que vous cherchez.
Cela étant dit, j’aime bien ce casque, et après avoir dû supporter un intra d’entrée de gamme un weekend, je suis content de retrouver mon Bose !
Je vous fais signe quand j’ai réussi à ruiner celui-ci…
Voyez le test des Numériques pour vous faire une meilleure idée. J’ai réussi à trouver ce casque aux alentours de 100€ sur le Net. Il existe des versions pour Androids et iPhones.
Désolé les enfants, il va vous falloir causer la langue des roux pour vous en sortir.
Pour une bonne ratatouille, voici ce dont nous allons avoir besoin :
Une carte SD d’au moins 4 Gos de classe 4 + une machine avec un port SD card (forcément, ça aide).
Un câble HDMI de qualité quelconque
Une alimentation directe USB / micro USB comme sur les téléphones Samsung.
Une souris sur port USB, ça peut être pas mal pour l’interface graphique.
Et un peu de sucre en poudre.
Le tout acheté neuf vous coûtera plus cher que la Framboise…
Pour jouer avec :
Commencez par télécharger un OS qui va bien. Si vous pigez que dalle au grand breton, choppez le premier : Raspbian “wheezy”.
Téléchargez ensuite de quoi graver l’image. Si vous n’êtes pas une espèce de barbu ermite, il est fort probable que vous soyez sous Windows. Choppez donc Win32 Disk Manager.
Décompressez le zip de l’image et le logiciel dans un coin en local de la machine qui possède le sacro-saint port SD.
Lancez Win32DiskImager.exe, choisissez l’image et le lecteur de carte SD. Cliquez sur Write. Facile !
Lors du premier boot, vous avez la possibilité de configurer pas mal de choses dont les locales et de préciser que la partition doit prendre tout l’espace disponible.
Après un petit reboot, voici la page qui vous accueil :
Reste à voir ce qu’on va faire avec tout ça maintenant ^^
Je suis parti pour un petit weekend du 15 août et certains se sont inquiétés de ma disparition (ceux qui m’avaient prêté des affaires, j’imagine 😉 ).
Rassurez-vous (ou pas), me revoilà. Quel délice de retrouver les parisiens et le ton condescendant qui va avec. Quel bonheur de de trouver 40° et une pollution « élevée« . Quelle merveille d’avoir un frigo vide un dimanche soir. Et puis pfff, déjà nostalgique du weekend.
Bref, j’ai besoin d’un câlin.
Bon, sinon, j’ai reçu mon Raspberry Pi. Evidemment, tellement en avance que je n’ai pas de carte SD pour le tester.
Pour vous donner une idée du bestiau, voici sa bouille avec une carte format CB.
Commandé le 5 août chez Farnell, expédié le 13 et arrivé entre le 16 et le 18.
Pour ceux qui n’ont pas suivi : ce truc est un petit PC qui coûte 35$ (41.32€ avec les frais de port). On trouve dessus :
Vous allez commencer par me dire : « mais qui utilise encore IE6 ? Même Microsoft milite pour son éradication ! » Et bien le fait est que quand les entreprises s’équipent en navigateurs, c’est pour le (très) long terme.
IE6 était bien pour une seule chose, il allait contre une règle de boxing du W3C qui fait hièch en ce moment. Elle faisait que lorsqu’on définissait 100% de largeur, borders et margins étaient compris dedans. A part ça, c’est un dinosaure dont on aimerait se débarrasser.
The bug
IE 6 possède un bug « rigolo » :
In Internet Explorer positioned elements generate a new stacking context, starting with a z-index value of 0. Therefore z-index doesn’t work correctly.
Pour ma part, j’ai eu à traiter ce problème sur les thèmes d’un portail Intranet. Les thèmes ont été ajaxisés et, s’ils conservent leur apparence, les imbrications provoquent le splendide bug de z-index : des menus déroulants passent derrière des objets sans z-index et positionnés en aval dans le flow du code. Comme je ne souhaitais pas repasser sur tous les thèmes tout de suite, j’ai fait un petit script qui fait ce ceci :
Il ne traite que les navigateurs IE6, IE7 et IE8 en mode compatibilité (IE7, quoi). IE5 est tout de même considéré comme mort.
Il récupère les positions absolues des éléments incriminés à coup de jQuery offset.
Il décroche les éléments de leur position dans le DOM.
Il les réinsère à un niveau élevé (genre le body) et les installe confortablement en position absolue.
Ainsi, les éléments sont situés en dehors du méga-bordel généré par le portail et il n’est pas nécessaire de trifouiller la génération des pages (ouf).
Evidemment, cette approche a ses limites car l’offset n’est pas toujours très très précis. Il existe d’autres workarounds pour des solutions moins extrêmes quand vous avez la maîtrise totale du code HTML. Je vous invite à y jeter un oeil car la mienne est un dernier recours.
Voilà, j’espère que cette alternative pourra tirer quelques âmes perdues d’un petrin immédiat. Mais ce n’est pas une solution à long terme (donc en fait si).
Tout d’abord, activez l’accès SSH dans l’Interface web du NAS. Ca se situe dans Panneau de configuration / Terminal. Cochez « Activez le service SSH ».
N’activez pas le service Telnet, il n’est pas sécurisé.
Pour info :
– Le SSH (pour Secure SHell ) permet de jouer de la ligne de commande à distance sur votre NAS.
– Notre NAS dispose d’un Linux embarqué, il peut donc vous être utile d’apprendre quelques commandes de base.
2. Se connecter avec un client SSH
Téléchargez maintenant un client SSH. J’en connais deux qui fonctionnent très bien : Putty et MobaXTerm. Ici, je vais utiliser le premier.
Saisissez le nom réseau ou l’adresse IP privée du NAS et connectez-vous.
Lorsqu’un compte vous est demandé, vous pouvez vous connecter en « admin » ou plus balèze en « root » avec le mot de passe du compte « admin » (oui oui, pour root aussi).
Vous y voilà.
Bien sûr, si vous souhaitez utiliser un accès extérieur, vous devez configurer votre routeur pour ouvrir le port 22 (exemple pour une freebox revolution).
Chers internautateurs et internautatrices, aujourd’hui mon cher ami spi et moi même allons vous parler d’un avenir probable des jeux vidéos. Tout à fait mon cher Jean Tritri, je disséminerai mes commentaires perfides en italique.
Depuis maintenant une vingtaine d’années, tout le monde tente de s’équiper d’ordinateur de plus en plus puissant afin de pouvoir profiter chez lui de jeux de plus en plus riches en termes graphiques, de jouabilité, de fluidité et j’en passe… Certains remettent leur ordinateurs au top de la technologie une fois par an afin d’être au top du top de la technologie gamer.
Or c’est en fin juin 2012 que SONY, constructeur japonais ayant fait ses preuves dans le domaine des jeux vidéo (playstation 1, 2 et 3), a racheté la société GAIKAI spécialisée dans le CLOUD GAMING, que l’on pourrait traduire par « jeux vidéo à la demande ». Ou comme on dit chez nous, jeu virtualisé.
Avec une très bonne connexion, les joueurs joueraient sur des jeux installés sur les serveurs de la société dont l’image leur sera renvoyée sur leur moniteur d’ordinateur, télévisions, tablette, téléphone portable…
J’ai pu tester le service avec ma connexion d’environ 5 Megas et j’ai été très agréablement surpris. Trivette ayant une bande passante légèrement plus faible n’a pas pu (pointons le du doigt et rions ^^). Vous pouvez essayer vous même un jeu (30 minutes) sur le site de GaiKai, ne vous en privez pas. 😉
Franchement, au début, j’étais très sceptique car jouer à partir du cloud génère un flux vidéo important (autant que la TV sur votre box) et nécessite un temps de réponse (ping) rikiki. Aujourd’hui, leurs serveurs sont très performants. Mais quid des futurs engorgements chez les fournisseurs d’accès qui brident déjà (officieusement) les vidéos YouTube ?
Avec cette nouvelle distribution, nous aurons alors la joie de pouvoir réunir les joueurs de plusieurs plateformes (PC et mac… :D) mais aussi le risque d’en voir disparaître d’autres « dis papa… C’est quoi une console de jeux? »… Ne revendez pas les vôtres, elles risquent de devenir des objets de collection.
Au début, vous devrez choisir entre investir dans de la bande passante ou une machine…
Mais ce choix se fera peut-être naturellement pour vous : l’informatique est en train de se scinder en deux avec d’un côté les utilisateurs occasionnels (consoleux, iMacqueux, iPadeux…) et de l’autre les power users (et là vous n’avez pas la joie d’entendre mon ton condescendant ^^). La première catégorie émerge depuis 2000, sera sans doute cliente de jeux sans installation et n’a pas de grandes attentes en terme de qualité graphique. Je les vois bien adhérer en masse. Pour la seconde catégorie, regardez les vous dresser en grand doigt d’honneur monsieur Sony. Il va falloir les convaincre avec mieux que ça.
Il s’en écoulera du temps avant de jouer à Crysis en 1080 lignes et 60 images/seconde. Les prochaines générations de consoles proposeront ce mode de jeu. Mais ne comptez pas tous y jouer. Pas tout de suite.
J’ai quand même peur qu’à terme, ce mode ne soit trop avantageux pour les éditeurs et se répande comme l’ebola. Imaginez : consoles pas chères, pas de problème de compatibilité. Que de tentations…
Je suis curieux de voir l’avenir de la dématérialisation du jeu. Les contraintes techniques sont fortes. Il faut la trouver la bande passante de 5 Megas dans le Cantal ! Idem sur les appareils mobiles.
Ensuite, on notera que cela va encore à l’encontre de la philosophie communautaire de l’Internet avec une nouvelle « dés-appropriation » du jeu de l’acheteur. Que ce passera-t-il si GaiKai ferme ? Comment revendre son jeu (ce qui est légal par jurisprudence depuis peu) ?
Enfin, je tiens à préciser que malgré mon émerveillement du début, j’ai constaté qu’on atteint pas le niveau d’un PC : la résolution est plus faible, le lag est très faible, mais existe, le nombre d’image par seconde est trop faible (environ 24) et génère des maux de tête sur Crysis 2.
En conclusion : un concept qui fonctionne, pas encore au top à cause de nos débits limités, plein d’avantages pour les éditeurs et le joueur peu exigeant, sacrifie encore la liberté du joueur de posséder son jeu. En ce qui me concerne, ce sera donc un « allez au Diable avec votre techno. » Mais peut-être pas pour vous. 😉
Encore merci au petit cousin de Bernard minet de nous avoir mis sur la piste de GAIKAI, sans qui cet article n’aurait jamais vu le jour.
En vous remerciant…
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