Archives de catégorie : Geek

Config janvier 2014 : il est temps de se remonter un PC !

Il est temps ! Après 5 ans de bons et loyaux services, je vais désosser mon PC et mettre à jour… quasiment tout. C’est l’occasion de voir ce qui a changé entre janvier 2008 et octobre 2013. La transfiguration étant prévue en fin d’année, les spécifications vont changer mais le plus intéressant est ici de comparer les valeurs des benchmarks des processeurs et cartes graphiques. J’ai mis l’ancien bench, le nouveau, et mon idéal trop cher. C’est assez impressionnant !

Comment ça, y’a que moi qui kiffe ce tableau ? Mais je vous emm… !

Matériel Janvier 2014
(prévue)
Janvier 2014
(définitive)
Janvier 2008
Processeur Intel Core I5 4670K Intel Core I7 4770K  Intel Core 2 Duo E6850 1
Mémoire vive G.Skill PC12800
16Go DDR3 (2x8Go)
G.Skill PC19200
16Go DDR3 (2x8Go)
G.Skill PC6400
4Go DDR2 PK (2x2Go)
Disque dur Seagate Barracuda 2 To
Intel 335 240Go
Samsung Serie 840 EVO – 500 Go Seagate Barracuda 500Go
Carte graphique GeForce GTX 770 GeForce GTX 780 GeForce 8800 GTS 512 2
Carte mère MSI Z87-G41 Gigabyte GA-Z87X-D3H Gigabyte GA-P35C-DS3R
Ventirad R Noctua NH-U12S Noctua NH-U12P
Alimentation R Seasonic Platinum Modulaire 660W Cooler Master Real Power M620
Ecran Iiyama Prolite E2480HS-B1 24 pouces Aucun SyncMaster 2232BW 22 pouces
Lecteur BluRay / Graveur DVD R R BluRay LG
Graveur DVD Plextor
Souris Razer Taipan Razer Taipan Microsoft Habu
Clavier R R Logitech
Boitier R R Cosmos 1000

R signifie « recyclé ». Car l’ancienne configuration devrait encore être compatible avec la nouvelle sur certains éléments. Il faut que je m’en assure pour éviter toute surprise.

1. Comparaison des benchs PassMark :

  • E6850 : 1984
  • 4670K : 7551
  • 4770K : 10120

2. Comparaison des benchs Passmark G3D :

  • GeForce 8800 GTS 512 : 849
  • GeForce GTX 770 : 6274
  • GeForce GTX 780 : 7957
  • GeForce GTX Titan : 8089

L’ancienne configuration peut être trouvée sur l’ancien blog. Espérons que ce sera plus simple qu’à l’époque :

Le Jefflec et moi même venons de nous refaire une petite config.
Futurs cambrioleurs voici ce que vous allez pouvoir tenter de voler (je vous conseille celle de Jeff car sa tour ne pèse pas 20 Kg ^^).

On a galéré comme des malades. Jeff a troué sa tour à la perceuse, je me suis planté de carte graphique à la commande, l’enfer. Et comme chaque fois, vous montez fébrilement votre machine en découvrant qu’il s’en est passé des choses en 5 ans, depuis que vous aviez monté votre dernier P4. Le moment tant attendu, vous allez brancher le PC, vous appuyez sur ON et… un éclair bleuté, tout s’arrète. AAAAH ! Horreur ! La carte mère est grill…. Ah non, j’ai juste éteint l’alim au lieu de la laisser allumée. Youpi !

Article original du 3 octobre 2013, actualisé avec la colonne de la config commandée le 5 janvier 2014.

J’étais à l’avant première d’Albator au Grand Rex

Bonjour à tous et Joyeux Noël !

Vendredi, j’étais à l’avant-première de Space Pirate : Captain Harlock que vous connaissez tous sous le nom de Albator : le corsaire de l’espace. Ca se passait au Grand Rex en présence de 2700 fans sur l’écran de 300 m² de la salle Grand Large. L’ambiance était excellente et le film n’était vraiment pas mal.

Synopsis :

Dans un futur lointain, la Terre est devenue une « planète interdite  » pour les humains éparpillés dans l’Espace : la planète ne dispose pas d’assez de ressources pour héberger toute l’Humanité. Le commandant du vaisseau spatial Arcadia, le capitaine Albator, est un pirate de l’espace épris de liberté. Condamné à mort, il demeure insaisissable. Albator a choisi d’affronter la Coalition GAIA.

Affiche Albator 3DLe film est fidèle à la trame habituelle des Albator, mais l’histoire a su s’adapter à un public devenu adulte, désormais capable de supporter un héros plus sombre que jamais. L’animation est quant à elle assez fantastique pour un film qui n’a coûté « que » 30 millions de dollars (Monstres Academy en a coûté 200). C’est beau, bien mis en scène et on retrouve notre capitaine charismatique. L’oiseau rigolo est le seul vestige du côté humoristique de la série, mais on n’est plus là pour se marrer ! 🙂

Pour moi, c’est le résumé de toute une enfance qui tient dans ce film. Il n’est certes pas transcendant, mais reste très bien et saura séduire toute une génération de trentenaires nostalgiques. Je ne vous en dit pas plus, allez le voir, surtout qu’il passe encore au Rex cette semaine dans la grande salle (il a kické la Reine des neiges en salle 2 !).

Je vous invite à un petit récap’ (non exhaustif) en générique et bandes annonces :

Albator 78 :

Albator 84 :

http://www.dailymotion.com/video/x6a1q4_generique-albator-84_shortfilms

Harlock Saga :

http://www.dailymotion.com/video/x933ep_harlock-saga-opening-ending_creation?search_algo=2

Albator 2013 :

Et n’oubliez pas de passer de bonne fêtes !

Sauvegarder en ssh sur un NAS Synology

Maintenant que le blog a son propre serveur, il est temps de faire mes sauvegardes moi-même comme un grand. Pour ça, une petite copie de fichiers par SSH me bottait bien. C’est très simple, sécurisé et de bon goût. Les barbus connaissent déjà et ça se trouve facile sur le Net, alors je vais rester concis et me contenter de mettre quelques liens.

Sauvegardons :

Si vous ne savez pas générer vos dumps de sauvegarde, sachez que vous pouvez – par exemple – créer des archives monolithiques contenant une arborescence de fichiers en tar.gz ou des dumps sql pour vos bases de données. Pour vous simplifier la vie, vous pouvez aussi utiliser des outils comme Ninja Backup (merci à Pierre pour la découverte).

Copions  :

Pour copier vos sauvegardes facilement sur un NAS Synology via SSH et en indiquant un mot de passe, commencez par installer sshpass. Il permettra de spécifier un mot de passe avec scp, ce qui est impossible à automatiser avec scp seul .

# yum install sshpass

Habituellement, on vous dira que stocker le mot de passe c’est mal et qu’il vaut mieux utiliser un système de clé privée / clé publique, mais je ne bosse pas à la NSA, alors voici la belle ligne de commande à lancer sur le serveur source, combinant scp et sshpass :

# sshpass -p 'xxx' scp -rp /mon/chemin/local/source/* backuper@nas.mondomaine.com:/volume1/ma/destination/

nas.mondomaine.com est l’adresse de votre nas, backuper est le nom du compte créé sur le NAS et xxx est son mot de passe. Les options r et p précisent que la copie est récursive et préserve les dates des fichiers copiés. Bien sûr, vous pouvez planifier cette sauvegarde via crontab

La partie qui nous intéresse : sur le Synology :

Je sais bien que les mises à jour du Synology écrasent parfois les modifications. On va donc limiter les manipulations : 

  • Créez un utilisateur avec des droits d’écriture sur le répertoire cible via l’interface web (voir capture plus bas).
  • En SSH, ouvrez le fichier /etc/passwd et modifiez la ligne de votre utilisateur : assurez-vous qu’elle se termine par : /bin/bash et non pas /sbin/nologin.
  • Vérifiez que le SSH est activé sur votre NAS.
  • Vérifiez que le port SSH (22) est ouvert en entrée sur votre routeur.
Backuper Rights
Droits de l’utilisateur Backuper. Cliquez pour agrandir.

Vous pouvez alors effectuer vos sauvegardes, et si vous voulez sécuriser un poil plus, regardez comment utiliser les clés publiques et privées.

C’est tout. 🙂

Home sweet home (le blog a changé de serveur)

Le blog a été fraîchement migré, soyez donc les bienvenus !

Mais n’oubliez pas vos patins pour ne pas rayer le parquet !

Peu de changements pour vous, mais plus pour moi :

  • un nouveau serveur
  • un nouveau système de commentaires
  • une mise à jour en version 3.8 de WordPress
  • un changement d’adresse de northgate.fr en blog.northgate.fr
  • de nouvelles ambitions pour le serveur qui va héberger d’autres blogs et outils

J’espère que 2014 va être chouette sur le sujet.

Have fun !
Spi.

Google représente 96% du trafic de ce site.

Je ne sais pas si vous vous en rendez compte, mais google est maintenant le site web incontournable de ce siècle, sans doute loin devant Facebook. Au point que certains le confondent avec Internet. Voici une illustration des provenances des visites de ce blog : 96% des utilisateurs atterrissent ici après une recherche sur un moteur de recherche Google. Impressionnant, et pas très bon pour la diversité.

Qui d’entre vous n’a pas Google en page d’accueil sur son Chrome aujourd’hui ? 😉

Google Master

J’ai vu Hunger Games 2 : l’embrasement

Je crois que la dernière fois que j’ai parlé d’un film c’était Oblivion, une nième ôde à Tom Cruise. Ce qu’il peut être détestable ce garçon… Après avoir détruit l’équipe Mission : Impossible pour en devenir l’unique héros, il a continué de nous gaver avec Jack Reacher, le clodo solitaire et il va sans doute encore nous éclabousser de son aura pendant quelques années. Ajoutez à ça que c’est un demeuré scientologue et je pense qu’on a là un bon acteur dont les films nous apportent notre dose quotidienne en légume et navets (mangerbouger.com). Il vous reste un peu d’aura, là…

Mais bref, je m’égare déjà alors que je voulais vous causer des jeux de la faim 2. Humhum, Ce weekend, je suis donc allé voir la suite des Hunger Games ! Katniss Everdeen et Peeta Mellark étant sortis victorieux des 74èmes jeux, ils sont maintenant contraints de faire ce que l’on attend d’une dauphine de Miss France, à savoir se taper des buffets campagnards et aller se faire vomir dans un coin. Malheureusement, la vie n’est pas rose car Katniss qui incarne malgré elle l’espoir de jours meilleurs, attise un vent de rébellion au sein des districts et atterrit directement dans la ligne de mire du président Snow.

On m’avait dit que le deuxième tome serait mieux que le premier mais je n’y croyais pas vraiment. A l’évidence; c’était un tort car je n’ai pas vu passer les 2h30 de film. On accompagne volontiers Katniss à travers son calvaire émouvant et la pseudo histoire d’amour reste au second plan (haters de Twilight, tout va bien). Franchement, si vous avez aimé le premier, vous kifferez votre mémé avec le second, foncez ! Foncez, j’vous dit !

La bande annonce ne défleure pas trop l’histoire :

http://www.youtube.com/watch?v=VMrJGNbPheA

J’ai testé : le Nexus 5

Voilà, j’ai passé une première journée avec le Nexus 5 et bilan : c’est mon meilleur ami maintenant ! Comment c’est trop de la boulette de pouvoir enfin utiliser un téléphone performant !

Ok, j’ai l’air un peu accroc comme ça, mais vous ne savez pas ! Vous ne savez pas ce que c’est que de vivre avec un Nexus S tout rachitique auquel on a fait une mise à jour vers Android 4 et qui n’était pas du tout assez costaud pour le supporter… Ah ça, après l’upgrade il était vigoureux le pépère, mais il a vite décliné. Au point que je me suis résolu à désinstaller Facebook et Chrome, ne laissant que le minium vital… Et même là, ce petit goret trouvait encore le moyen de se montrer lent ! Bien qu’utilisable, je décidai donc de mettre fin à notre amitié de (p**ain) deux ans lorsque j’appris la sortie imminente de son grand frère, le Nexus 5.

Faut-il passer du Nexus S au 5 ?

Sans hésiter : oui ! Si vous accordez un tant soit peu d’importance au confort, oui ! De toute façon, vous utilisez votre téléphone tous les jours et vous devez déjà maugréer dans votre coin alors allez-y, faites-vous plaiz.

Faut-il passer du Nexus 4 au 5 ?

Je ne suis pas passé par la case Nexus 4 pour la bonne raison que « faut pas déconner non plus », mais je l’ai eu entre les mains et sincèrement, je ne pense pas que ça vaille le coup de changer. Je ne comprend même pas que des gens aient pondu des articles pour se poser la question. Gardez votre 4 les enfants, car en plus il passera sous Android 4.4 d’ici quelques semaines.

Un marketing par le buzz…

Il y a une chose qui m’a bien fait marrer, ce sont les « rumeurs » qui ont grouillé autour du nouveau smartphone de Google. Aujourd’hui, on sait très bien que les fuites, les apparitions éclaires sur des sites de vente et les photos volées font partie d’une politique visant à faire le buzz. Et pourtant, tous les journalistes s’étonnent à chaque fois. C’est pourtant une technique qui se retrouve en permanence depuis 10 ans et qui a fait ses preuves : Google n’a fait aucune publicité avant la sortie du Nexus 5 et pourtant tout le monde le voulait déjà. Facile, pas cher, efficace.

Ce qui m’a marqué lors du passage du S au 5

  • un écran beaucoup plus grand et fin,
  • un dos en plastique doux, effet daim,
  • une interface incroyablement plus fluide !
  • une meilleure intégration de Google Now, une meilleure compréhension du parlé (dommage qu’il n’y ait pas le déclenchement vocal permanent en français).
  • une batterie plus importante (2300 mA au lieu de 1500 mA)
  • une batterie intégrée cette fois, et ça c’est naze.
  • il est toujours impossible d’étendre la mémoire, ça aussi c’est bof.
  • pour une taille plus grande, le poids est assez proche,
  • la 4G, même si Free n’en a pas encore parlé,
  • les 2 ou 3 améliorations de la version4.4 qui ne cassent pas 3 pattes à un canard,
  • une batterie plus longue (mais aussi plus neuve, ça joue pas mal),
  • je n’ai pas eu de kitkat au déballage,
  • le haut-parleur, que j’ai tendance à boucher avec mes doigts sur le 5,
  • je concède à Apple que l’écran est un peu trop grand pour jouer du pouce à une main.

Precious PhoneDernière anecdote, la superette dans laquelle UPS a déposé le Nexus a su bien ménager le suspense quant à savoir s’ils l’avaient planqué dans la remise, au dessus du frigo, dans le derrière de la caissière ou s’il l’avait donné à une cliente Sarenza. On se serait cru à Pâques mais j’ai finalement récupéré le Précieux, ne comptez donc pas me parler avant plusieurs semaines.

J’ai vu : Gravity

Le film avec Sandra Bullock et Georges Clooney s’était peu dévoilé dans les bandes annonces et c’est vraiment le bouche à oreille qui’ m’a poussé à bouger mon séant pour aller le voir. Il parait que c’est un film à grand spectacle alors direction le Megarama de Villeneuve ! Ok, c’est blindé de djeunz qui font le show. Une nana essaye de resquiller et se fait transporter par la police à l’extérieur du ciné pour sans doute y subir une ou deux bavures. Dieu merci, les petits démons vont tous voir Thor 2. Notre salle est peuplée de gens normaux (moi excepté).

Le film commence. Je ne sais pas à quoi m’attendre car 2h dans l’espace, ça risque d’être long. Ben non, perdu. Le film est magnifique, haletant et j’ai kiffé la musique d’ambiance. Le réalisateur a parfaitement joué du silence dans l’espace et vous pousse à enfoncer vos griffes dans l’accoudoir. Je ne vais pas vous en dire plus, juste que ce film est beau, qu’il mérite d’être vu sur le plus grand écran que vous ayez. A voir une fois, mais à savourer. 🙂

Je vous mets cet extrait parce que le dernier trailer révèle finalement trop de l’histoire. Vous allez vous mettre ici dans l’ambiance avec deux minutes du film. Imaginez-vous à la place de Sandra Bullock. Enjoy !