Terminator 5 : Genisys

Le prochain Terminator a sa bande annonce et je viens seulement de la remarquer. En plus il a un bon potentiel ! Comment ai-je pu passer à côté ?

Rewind / Souvenez-vous :

Dans le premier Terminator, la petite famille Connor parvient à vaincre le méchant T-800 au visage de Mister Universe en en faisant de la galette. Ca vénère le super ordinateur SkyNet qui envoie un T-1000 pour finir le boulot dans un deuxième épisode. Avantage du T-1000 : il est en métal liquide et donc aussi relou à buter qu’une motte de beurre. Mais heureusement, la résistance reprogramme un T-800 et l’envoie pour protéger John et sa maman. Victoire : le T-1000 tombe bêtement dans une soupe de métal en fusion et crève avec des petits cris de chochotte alors que Schwarzy plonge dans l’acier avec un « je reviendrai (aïe, c’est chaud quand même) ».

C’est bon, vous suivez ?

Puis vient le temps de Terminator 3. La mère de John Connor est morte toute seule comme une grande, mais SkyNet qui a décidément de la suite dans les idées envoie un T-X (ça ne vous rappelle pas un peu les séries des Citroën ?). La résistance (habituée) envoie un nouveau T-850 pour protéger John et c’est reparti pour un tour ! Sauf que cette fois, tout le monde crève à la fin. Et ouais, le jour du jugement dernier est inévitable : on ne change pas le futur. SkyNet prend le pouvoir, pis c’est tout.

Après l’apocalypse selon SkyNet, John sort de terre et organise la résistance dans Terminator Renaissance. Malgré les taquineries de l’ordinateur suprême, ils remportent une grande victoire, mais pas la guerre. SkyNet, au bord de la crise de nerfs, décide alors d’envoyer un nouveau Terminator pour aller défoncer une nouvelle fois Sarah Connor. Sauf que la ligne temporelle a changé et l’histoire aussi.

Voici donc un très bon prétexte à faire un remake de Terminator 1 que l’on appellera : Terminator Genisys. Kyle Reese le pote et papa de John va devoir maintenir en vie et labourer madame Connor (après on me fera des remarques sur nos mœurs dans le Nord…).

Vous noterez dans la bande annonce, que le rythme a changé et que des tas de nouveaux paramètres entrent en compte. De quoi revivre l’aventure de façon différente. Un bon potentiel, je vous dis ! Mais on l’attend au tournant celui-là : ne refait pas Terminator qui veut !

Rendez-vous le 1er juillet 2015.
Ah, et joyeux Noël. 😉

Joyeux Noël 2014 tout le monde !

NoelBonjour les enfants, je voulais juste vous souhaiter à tous de joyeuses fêtes de fin d’année et de bien vous éclater la panse avant d’envoyer vos enfants au lit pour jouer avec leurs cadeaux.

Et n’oubliez pas : l’esprit de Noël c’est l’amour, le partage et la compassion ! Non, je plaisante bien sûr. L’idée c’est d’offrir des cadeaux hors de prix que vos enfants n’utiliseront qu’une fois alors que les petits chinois lutins qui les ont fabriqués dorment à même le sol dans leur usine pour tenir les délais. Si savoir à quel point nous sommes privilégiés ne vous remonte pas le moral, je ne sais pas quoi faire… 🙂

Allez, pour ne pas briser totalement, l’esprit de Noël, voici la bande annonce d’un beau petit film de Noël (2010) : Rare Exports. Et n’oubliez pas : HOHOHO !

Et puis tant qu’on y est, ma rétrospective 2014 sur Face de bouc.

Si vous tenez à votre chien, tenez le en laisse !

Ma vie est une aventure à côté de celle de Bear Grylls, alors je vais vous en raconter une tranche ! Non bah, en fait c’est juste pour vous sensibiliser, amis propriétaires de trucs à quatre pattes.

Hier après le taff, je rentre en vélo comme d’hab le long des quais de Seine. C’est vachement bien d’avoir un petit chemin de terre verdoyant qui me permet d’éviter les grandes routes dangereuses qui puent, mais c’est mal éclairé et manifestement pas sans danger. Je me sentais en forme alors je roule à bonne allure. Il fait noir, mais j’ai un phare avant suffisamment puissant pour anticiper la présence des gens. Malheureusement, ce n’est pas suffisant pour les chiens foufous.

J’entends des cris qui rappellent des chiens (qui se sentaient visiblement peu concernés) quand d’un coup, sortent deux lévriers d’un fourré. Dans ma tête, je me dis : « nannnn, sans déconner, sur toute la largeur des quais ces cons vont passer sous mes roues… ». Bingo ! Le premier s’engouffre sous ma roue à 25-30km/h avant alors que je n’ai pu freiner que sur 2m. « I believe I can flyyyyyy ». Je retombe dans un pof mou sur le flanc.

Ca a l’air rigolo dit comme ça, mais ça ne l’est pas. Vous êtes trop nombreux à laisser vos chiens en liberté dans les zones où peuvent passer des cyclistes (voire des voitures). La sanction : votre chien a une bonne chance de morfler grave un jour. Et bien sûr, votre responsabilité est engagée et vous êtes parfaitement en tort.

Veillez donc à toujours tenir votre animal en laisse, ou si décidez de le laisser en liberté dans le noir, mettez lui au moins un collier lumineux pour que l’on puisse anticiper et ralentir.

Voilà, en espérant vous avoir donné envie de sauver votre chien d’un accident et d’éventuelles poursuites. Un peu de bon sens et tout le monde s’entendra à merveille.

J’en profite pour donner aussi quelques conseils aux coureurs. Mettez des vêtements réfléchissants et une loupiote avant et arrière pour signaler votre position. Evitez les vêtements noirs. Ne courrez pas à gauche (bordel) lorsque vous êtes sur un chemin de terre de 5m de large (ça c’est juste quand il y a des voitures). Comment voulez-vous qu’on vous double en toute sécurité par la droite !?

Axolot : superbes documentaires (et sources d’étonnement)

Salut les enfants. Je vous invite aujourd’hui à découvrir la chaîne YouTube d’Axolot. Vous y trouverez de courts documentaires réalisés par Patrick Baud (un ami du Fossoyeur de films) qui ont la tâche ardue de nous étonner. Et je suis bien forcé d’accorder à l’auteur qu’ils sont captivants. 🙂 Voici comment il décrit son Axolot :

C’est un blog sur lequel vous trouverez des faits curieux, des histoires étranges, et d’une façon générale un contenu pensé pour susciter l’étonnement. Aristote disait que la science consiste à passer d’un étonnement à un autre, Platon lui emboîtait le pas en affirmant que l’étonnement est la vraie marque d’un philosophe. Si un tel sentiment est capable de réunir ces deux disciplines fondamentales, il doit pouvoir suffire à justifier un blog…

Pour commencer, je vous propose cet épisode sur quelques endroits inédits que l’on trouve sous terre.

Si vous accrochez, visitez son blog ou sa chaîne YouTube, il le mérite. Et pour vous, d’autres documentaires vous y attendent. 😉

6 bonnes raisons de détester les commerciaux en informatique

Il n’y a pas si longtemps, je vous avais fait part d’une expérience personnelle avec le service Communication de la boite dans laquelle j’exerce mes talents de nécrologue en intranets. C’est donc avec un certain plaisir que je vais aborder une autre espèce de nuisibles, le Commercial en informatique. Mais là pas de surprise, vous saviez déjà que telle une vendeuse de Thermomix suceuse de sang, il ne vous lâcherait pas la grappe, même en vacances. Jamais.

Dans le monde de l’informatique, il arrive souvent que nous soyons envoyés en mission dans d’autres sociétés. Evidemment, avant de choisir son informaticien, l’entreprise doit parcourir son CV et l’entendre en confession (« oui, pardon, j’ai fait une requête en dur dans une page JSP »). Cette semaine, nous avons donc vu quelques candidats pour remplacer un de mes collègues sur le départ et c’était l’occasion de contempler quelques commerciaux à l’oeuvre. Je n’ai pas été déçu du voyage, petit compte rendu.

Un commercial
Bonjouuuuur ! Je vous apporte de l’amour et un prestataire !

1. Il a plus l’habitude de vendre que vous d’acheter.

Tout d’abord, le ou la commercial(e) présente bien. Tantôt hyper-actif sous caféine, tantôt Jabba le Hutt sous prozac, il est sûr de lui et ne se démonte jamais(1). Il a l’habitude de vendre du bétail et va vous vanter la qualité de sa viande.

2. Il est très présent.

Le commercial est votre ami, votre meilleur ami, votre ombre. Tant qu’il ne vous a pas vendu son premier fils, il vous harcèle au téléphone et par e-mail. Vous lui aviez bien dit de vous laisser en paix le weekend ? Il vous convaincra que vous ne l’aviez pas fait. Alors, vous le prenez ce nouveau né ou pas ? Il y a déjà une entreprise d’électronique chinoise sur l’affaire, vous savez ?

3. Il vous ment déjà.

Mais oui, le prestataire est tout prêt, tout emballé, presque déjà devant la porte. Sauf qu’en fait, il vous rappellera pour vous expliquer que le tarif journalier est trop bas, que le gus qu’il a proposé est déjà embauché ailleurs ou que des aliens lui ont fait subir une hystérectomie dont il se remet mal. Mais en revanche, il peut vous proposer un anchois dans un bocal qui fera le même travail pour le même prix.

4. Il vous aime.

Il a particulièrement apprécié la qualité de vos échanges, aime beaucoup l’odeur de vos cheveux et est convaincu que vous [êtes|seriez] un merveilleux parent ! Etrangement, lorsqu’il aura obtenu ce qu’il veut, votre relation se réduira jusqu’à devenir inexistante. Il ne répondra plus à vos mots d’amour et ne fera même plus de point de mission. En revanche, il se précipitera sur vous pour vous lécher le [visage] avec une liste d’excuse longue comme le bras lorsque vous aurez besoin d’un autre prestataire. Couché Rintintin !

5. Il est fourbe.

Il vous appelle plusieurs fois d’affilée pour vous forcer à répondre. Ses tournures de phrases vous font comprendre que vous avez déjà accepté son offre et son poulain est déjà dans votre bureau à essayer de craquer votre mot de passe. Ses parents ne sont pas dans une maison de retraite de luxe à Menton comme il tente de vous le faire croire, ils extraient l’argent d’une mine bolivienne depuis leur vente à un cartel. Il propose de trouver une carrière à votre petite nièce qui n’en fiche pas une en CM2 sur un marché Thaïlandais très lucratif.

6. Il sait enrober le diable de sucre.

Parfois, dans son discours il glissera une phrase pour vous dire à quel point il vous apprécie, que la vie est belle et que son sbire maléfique est en fait une petite fée rigolote : « C’est un excellent développeur, en plus le feeling passe très bien. De plus j’apprécie grandement la qualité nos échanges et vos cheveux sentent toujours très bon. » Une fois le sbire acheté, la garantie, la période de recouvrement, la date de départ, tout deviendra flou, voire apocalyptique. Vous vous étonnerez cependant lorsque votre nouveau collègue défectueux se lèvera en levant les bras au ciel dans un rire satanique avant de se rasseoir paisiblement. Mais on s’habitue à tout.

7. Savoir contre attaquer avec la même force.

Faire saliver la commerciale en la laissant dans son trip, ne pas retenir son candidat, puis la consoler en lui demandant si vous pouvez boire ses larmes.
Après tout, vous étiez déjà cruel avant qu’elle ne naisse(2).

(1) : Il existe cependant une notice pour ce faire à coup de démonte pneu dans la g…, c’est à tester.
(2) : Ou ça c’est juste moi peut-être…

Faire son shopping à Douai, en ligne et être livré dans la journée !

« Douai ». Vous voyez ? Rien que le nom vous a fait sourire. En dix ans, la ville a réussi à se chopper une réputation de mauvais gestionnaire que la Grèce ne nous envie pas. Cela dit, si vous voulez tenter la même performance sur votre Sim City, la recette est simple : fermez le centre à la circulation automobile sans fournir de transports en commun alternatifs, et voilà ! Vous obtenez une flopée de magasins exsangues agonisants dans leur pipi.

Mais (car en ces périodes de fêtes c’est bien d’avoir un « mais ») une petite bande d’irréductibles tente une nouvelle approche : « si tu ne viens pas à Douai, Douai ira à toi ». Le principe est celui d’un site en ligne mais avec un petit plus : vous pouvez être livré gratuitement le jour même dans un rayon de 10 km. Un service intéressant qui apporte de quoi concurrencer les sites en ligne à la Rue du commerce ou CDiscount.

En revanche, on regrettera que tous les commerces n’aient pas encore adhéré au site car ce qui fera sa force, c’est le nombre le choix. Pour l’instant seuls 16 magasins dont le Petit Moulin et HappyCash proposent des articles. Ce serait bien de voir aussi arriver La Clef ou Plug-n-Play par exemple, mais j’imagine que leur propre site en ligne leur suffit.

Alors pourquoi je vous parle de ce site ? Parce que j’ai été séduit par le soubresaut des commerçants et je salue cette initiative à laquelle j’adhère. J’ai donc voulu faire un peu de promo à mon niveau. Partagez l’article ou le lien si vous pensez que ça peut intéresser vos amis :

douai shopping logo
Cliquez sur le logo pour visiter leur site.

 Douai revivra peut être grâce au BHNS et à ce petit site. 😉

Et voilà, le Hobbit c’est fini

Le Seigneur des anneaux avait un goût de « pas assez ». 1300 pages divisés en trois films de 2h30, c’était condenser tout un univers au point qu’on avait l’impression qu’il manquait des choses. Et ce n’est pas Tom Bombadil, personnage oublié du grand écran, qui me contredira.

A l’inverse, en s’attaquant au portage de « Bilbon Le Hobbit », Peter Jackson avait comme support un livre pour enfant de 300 pages. On pouvait alors légitimement se demander comment il allait tirer suffisamment de moelle pour nourrir ses spectateurs avides sans tomber dans le commercial. Et bien réponse : il n’a pas pu. Le réalisateur a dû broder pour mettre en scène une aventure de 8h et malheureusement, ça se voit sur le dernier opus : La bataille des cinq armées. Ici, on se débarrasse vite du suspense instauré pendant tout le second épisode et on passe à la baston. Magnifique, épique et copieuse, la baston ! Mais l’histoire en devient presque un second rôle : c’est autant scénarisé qu’un match de catch…

Ne croyez pas que j’ai été déçu car je suis fan de la saga et voir mes amis nains s’embrocher gaiement (non, pas ceux de la Fistinière) est toujours un plaisir. Cela dit, le Seigneur des anneaux reste le chef d’oeuvre de Tolkien et la meilleure adaptation de Petounet. Et puis mon avis comptera bien peu, car si vous êtes allé voir les deux premiers, vous êtes obligés de voir le dernier. 😉

On peut maintenant se demander si Peter Jackson s’inspirera des autres œuvres de Tolkien. Pas certain que le Silmarillion passionne les foules mais j’aimerais assez un petit film sur Tom Bombadil, mais bon. En tout cas, le bon côté des choses, c’est que vous pourrez maintenant vous faire des weekends Terre du Milieu avec 18h de vidéo !

A lire aussi :

Tchernobyl 30 ans après – la ville morte de Pripiat

En novembre dernier, CBS a diffusé un reportage sur Tchernobyl. Presque 30 ans après l’explosion de la centrale nucléaire, les journalistes de la chaîne se sont rendus sur place pour faire le point.

Aujourd’hui, elle se recouvre doucement de son deuxième sarcophage mais elle reste dangereuse et la ville voisine de Pripiat est toujours inhabitable. A travers ces magnifiques images, ce reportage est l’occasion d’avoir une idée sur ce que sera notre monde 30 ans après notre disparition. Visiter cette ville est un fantasme pour moi mais je ne pense pas que j’oserai y aller. 🙂

Plus d’informations et de vidéos sur le site de CBS News.
Je me referais bien un petit Chernobyl Diaries, tiens.